Discussions annexes, bavardages politiques, hors-sujet divers... (archives 3003-2008)

Ce deuxième forum est réservé aux discussions culturelles et politiques qui ne concernent pas directement France Culture. L'accès est libre mais les propos racistes, diffamatoires ou insultants seront effacés. Pour insérer des smileys, voir les pages DÉCALCOS 1 et 500 DÉCALCOS. Mention légale : les textes, idées et contenus présentés ici n'engagent que leurs auteurs à titre personnel et non le propriétaire du site Défense de France Culture.
**** Cliquez ici pour retourner au forum rouge du site DDFC ****


 La pétition SOS France Culture continue sur le site sosfranceculture.free.fr        Dictionnaire TLF 
 Recherche :
 Dans le fil

Retour à la liste des messages
guydufau

02/11/2005
16:58
HOMMAGE A GEORGES GUINGOUIN

Les médias ont été très discrets.
Georges Guigouin, est décédé jeudi dernier à l'âge de 92 ans. A la tête des maquis du Limousin il a libéré Limoges, désobéissant aux ordres du Parti Communiste, dont il était membre.
Hitler avait pris la décision, en 1944, de retirer la deuxième division "Das Reich" du front russe pour aller attaquer les maquisards limousins. Puis la division "Das Reich devait aller sur le front de Normandie. Georges Guingouin et ses troupes en retardèrent le déplacement.
Einsenhower a reconnu que ce retard précieux avait sauvé la tête de pont alliée débarquée en Normandie.
Après la guerre, il fut victimes d'incroyables persécutions : calomnies -il aurait volé des millions au maquis du Limousin-, exclusion du PC, violences, emprisonnement,et même expertise psychiatrique. Ont été associés à cette campagne outre les staliniens, des élus socialistes, des policiers, des magistrats. Il a été ensuite complètement réhabilité. Ces persécutions rendent aujourd'hui encore plus noble et émouvante sa figure de grand résistant entre tous.
Il avait cosigné en 2004, à l'occasion du 60e anniversaire du programme du CNR (conseil national de la résistance), un appel destiné aux jeunes générations.
Cet Appel dénonçait notamment la mainmise actuelle des intérêts privés sur les principaux médias et réclamait une "véritable insurrection pacifique contre les moyens de communication de masse qui ne proposent comme horizon pour notre jeunesse que la consommation marchande, le
mépris des plus faibles et de la culture, l'amnésie généralisée et la compétition à outrance de tous contre tous."

Ce texte a été adopté notamment par Lucie et Raymond Aubrac, Daniel Cordier, Stéphane Hessel, Maurice Kriegel-Valrimont, Lise London, Georges Séguy, Germaine Tillion, Jean-Pierre Vernant.
 
yeti

02/11/2005
17:45
re : HOMMAGE A GEORGES GUINGOUIN

Sur "le grand" voir ici :

http://bellaciao.org/fr/article.php3?id_article=20062
 
Marceldudu

02/11/2005
19:04
re : HOMMAGE A GEORGES GUINGOUIN

Encore un hommage qui va faire plaisir à certains sur ce fiorum
[http://france.attac.org/a5608->http://france.attac.org/a5 608]


 
yeti

02/11/2005
19:25
re : HOMMAGE A GEORGES GUINGOUIN

Il existe un site : http://www.guingouin.com

En anglais....
 
yeti

02/11/2005
19:29
re : HOMMAGE A GEORGES GUINGOUIN

Dans L'Huma de lundi :

Georges Guingouin l’épopée de la Résistance

Le chef de la Résistance limousine est mort jeudi, à Troyes, à l’âge de 92 ans. Il fut maire communiste de Limoges de 1945 à 1947. L’an passé, dans le numéro spécial de l’Humanité, « 1944, la France se libère », Magali Jauffret traçait le portrait de ce personnage de légende.

Nous sommes en février 1941. Il vient d’avoir vingt-huit ans. À quoi pense Georges Guingouin dans la cabane souterraine d’une sapinière du mont Gargan où il se cache, en ce pays limousin boisé et peuplé de croquants, pour échapper aux Allemands et à la milice ? S’autorise-t-il même à penser, à rêver alors que le temps dicte de faire entrer les paroles dans la vie ? Il faut faire tourner la ronéo pour sortir l’Humanité clandestine, imaginer un plan pour nourrir le maquis, trouver de quoi imprimer de faux papiers. Arriver à saboter les batteuses, et donc empêcher la livraison de blé à Hitler, sera de la première importance...

Les soirs de combat, quand la mort rôde trop, après avoir assisté les blessés, accompagné les mourants, des vers de Victor Hugo, appris par coeur du temps de l’école à Bellac, transmis aux enfants du temps où il était instituteur à Saint-Gilles-les-Forêts, remontent le fil de sa mémoire et calment son envie de hurler. Dans ces moments-là, toucher ainsi à la fragilité de l’humain le rapproche de son père qu’il n’a pas eu le temps de connaître et qui repose, avec sept cents de ses camarades, dans « la grande tombe », la fosse commune d’un village du Nord creusée en hâte pendant la Grande Guerre.

Évoquer Georges Guingouin ; quatre-vingt-onze ans, terrassé ces dernières semaines par le décès de sa femme Henriette, compagne des luttes, mais aussi des mille tourments et iniquités qu’il aura à subir, c’est explorer les qualités de désobéissance, d’héroïsme, de loyauté de l’homme, lorsqu’il est à son meilleur niveau. C’est aussi comprendre la singularité fondatrice de ce Limousin rouge qui, après avoir bercé de nombreux communards, offre à la nation de - sacrés maquisards.

Et aussi, juste après ce 18 juin 1940 où, blessé, mais déterminé à ne pas être fait prisonnier par les Allemands, il s’enfuit de l’hôpital Sainte-Madeleine de Moulins, Guingouin, l’un des premiers à penser la nécessité de créer un réseau clandestin contre Vichy, n’a aucun mal à convaincre les paysans communistes de la région d’Eymoutiers, parmi lesquels Andrée Audouin, qui deviendra journaliste à l’Humanité, de grimper avec lui dans la montagne avec des fusils. « Tu as été le seul normalien de Limoges à participer à la grève du 12 février 1934, lui disent-ils. Tu es quelqu’un de solide. On te suit. »

Les années passent. Le charisme, l’intelligence terrienne de Georges Guingouin s’affirment. Chef de la résistance civile dans la région, il est capable de diriger, à l’apogée de la lutte, des hommes aussi différents que 8 750 FTP, 4 100 membres de l’Armée secrète, 1 000 membres de l’organisation Résistance armée, 300 républicains espagnols et 500 ex-Vlassov. Cerveau de nombreux sabotages, il multiplie les coups gagnants contre l’économie de guerre, contre les lignes de communication de l’armée allemande. Ce faisant, il ne néglige pas la lutte des classes et s’allie les paysans en leur permettant de garder le fourrage et le blé, en rémunérant correctement les produits agricoles, en faisant revenir le pain blanc sur les tables grâce à des décrets signés « le préfet du maquis ». Enfin, on le découvre stratège. La capture, le 9 juin 1944, du Sturmbannführer Kämpfe, « héros » de la division d’élite SS Das Reich, retarde cette dernière de deux jours, dans sa mise en mouvement vers la Normandie. Le général Eisenhower reconnaîtra que ce retard a sauvé la tête de pont alliée. Mais ce n’est pas tout. Le 3 août, procédant à une manoeuvre d’encerclement de Limoges, il obtient sans effusion de sang la capitulation du général Geiniger. Cerise sur le gâteau : des escadrons de gendarmes et de gardes mobiles qui se terraient dans la campagne limousine après l’y avoir pourchassé des années durant se rendent à lui.

Les années passant, l’isolement gagnant, Georges Guingouin, sans contacts ni directives, a pris insensiblement ses distances avec les décisions du Parti qui ne lui semblent pas opportunes. Lorsqu’il ne partage pas les mêmes analyses, lorsque les directives lui semblent aventureuses, lorsque le coût en vies humaines lui paraît trop élevé, il désobéit. Son personnage n’en finit pas de soulever la controverse. Prend-il conscience que pareilles libertés, insoumissions, prises de distance avec l’appareil sont inconcevables dans un contexte de guerre froide, d’adhésion à la IIIe Internationale, de culte de la personnalité ? En tout cas, le portrait dressé de lui, à l’époque, est terriblement schizophrénique. Surnommé affectueusement « Lou Grand » à l’intérieur du maquis, il est, à l’extérieur, traité de « fou qui vivait dans les bois, se levant la nuit pour écraser des chiens ».

Guingouin l’incontournable l’ignore, mais il est déjà diabolisé, pris dans les mâchoires d’une étrange et double tenaille, étranglé par les manoeuvres conjointes de socialistes, de vichystes revanchards, mais aussi des siens, qui l’accusent de « travail fractionnel », d’« acceptation sans protestation des éloges de la presse américaine », de razzia sur les fonds secrets de la Résistance ! Deux exclusions valant mieux qu’une, un procès de Moscou est en marche dans le Limousin contre celui qui devient maire de Limoges de 1945 à 1947 et que de Gaulle a élevé compagnon de la Libération. Un grave accident automobile, une machination judiciaire qui l’envoie en prison, dans le coma et en hôpital psychiatrique parachèvent ce tableau de l’indignité.

Georges Guingouin, finalement réhabilité par Robert Hue en février 1998, est l’honneur des communistes français. Anticipant la déstalinisation, sa vie atteste que les valeurs communistes se valident à l’aune d’une liberté ressentie, questionnée en permanence et nourrie de l’humain. En 1964, il rédige une adresse aux membres du 17e Congrès du Parti communiste français. Se plaignant de la rupture entre les paroles et les actes au détriment de l’idéal proclamé, il a conclu par ces mots : « Au soir des combats, j’ai bercé dans mes bras des mourants (...), j’ai tenté des actions désespérées pour sauver ceux qui étaient destinés aux fours crématoires et au poteau d’exécution. Croyez-moi, c’est cette vertu de compréhension qu’il faut pratiquer pour trouver l’art d’avancer. »

Magali Jauffret
 
yeti

02/11/2005
20:07
re : HOMMAGE A GEORGES GUINGOUIN

A comparer avec Liberachion :

Mort de Georges Guingouin, le «préfet du maquis»

Résistant de la première heure, ce communiste fut victime après guerre d'un véritable «procès de Moscou».

par Pascal VIROT
QUOTIDIEN : samedi 29 octobre 2005


Un «préfet» est mort. Un homme atypique, communiste, et qui n'a jamais été préfet. Mais, ce titre, il l'avait hérité de sa popularité de libérateur de Limoges. Georges Guingouin, le «préfet du maquis», aussi surnommé «Lou Grand», en raison de sa grande taille, ou encore le «Tito limousin», est décédé jeudi à l'âge de 92 ans, à Troyes (Aube) où il s'était retiré après son exclusion du PCF en 1952.

Ses titres de gloire, Georges Guingouin, ancien instituteur, maire de Limoges entre 1945 et 1947, les a récoltés dans son combat contre l'occupant allemand. Dès 1940, alors que le PCF est interdit pour cause de pacte germano-soviétique, qu'il dénonce, Guingouin organise le premier maquis de France. Il entre dans la clandestinité début 1941. Commence alors une folle épopée, semée de cadavres, de coups d'éclat et de coups de gueule. Les morts, c'est une famille soupçonnée de faire du marché noir, et aussi un milicien, ou des paysans partis à la foire avec 30 000 francs, assassinés dans un bois. Ces épisodes serviront plus tard à monter un dossier à charge contre Guingouin. Ils sont racontés par Michel Taubmann dans l'Affaire Guingouin (Ed. Lucien Souny). La gloire, c'est une armée de 14 000 maquisards, sous son commandement, qui affronte la division SS Das Reich, celle d'Oradour-sur-Glane, en juin 1944. Pour l'avoir retardée alors qu'elle montait sur le front de Normandie, Georges Guingouin reçut les félicitations du général Eisenhower. Charles de Gaulle le fera compagnon de la Libération.

Résistant de la première heure, Guingouin n'est pas un tendre. Il est maître sur ses terres : il réglemente le ravitaillement de ses troupes, taxe les denrées... Franc-tireur, il s'oppose aussi à la direction clandestine du PCF, refusant par exemple d'occuper Limoges en juin 1944, «une consigne suicidaire». Ce n'est pas là son premier désaccord. Dès 1943, l'homme de la guérilla rurale dans le Limousin est l'objet d'un ordre d'assassinat lancé par son propre parti. Au début des années 50, cette forte tête, comme nombre d'anciens résistants, sera pourchassée. Maurice Thorez a passé la guerre à Moscou. Les héros communistes ne peuvent lui faire de l'ombre : ce sera le cas par exemple de Maurice Kriegel-Valrimont, d'André Marty, numéro 3 du PCF, mutin de la mer Noire, ou de Charles Tillon, chef des FTP qui réorganisa le parti dans la clandestinité. Guingouin est l'objet d'un véritable «procès de Moscou». Il est exclu du PCF le 9 novembre 1952. C'est l'époque de l'élimination des «titistes», et de l'affaire Marty-Tillon, accusés de «déviationnisme»...

En 1998, Robert Hue, alors secrétaire national du PCF, lance une grande opération pour réhabiliter tous ces «ex», pourchassés, malmenés, diffamés. Dans une lettre à Georges Guingouin, il écrit notamment : «Je tiens à vous confirmer [...]combien le Parti communiste reconnaît la gravité du tort qu'il a ainsi fait à des femmes et à des hommes, et le tort qu'il s'est fait lui-même.» Il n'y aura pas de suite.


 
yeti

02/11/2005
20:17
re : HOMMAGE A GEORGES GUINGOUIN

Admirons l'honnêteté du quotidien de Rotschild :

"En 1998, Robert Hue, alors secrétaire national du PCF, lance une grande opération pour réhabiliter tous ces «ex», pourchassés, malmenés, diffamés." puis, in cauda venenum : "Il n'y aura pas de suite."

Alors que "le Parti communiste a déclaré nulles et non avenues toutes les exclusions de nature politique, prononcées au fil de son histoire."(MG Buffet)

Mais le quotidien de l' "agression antisémite dans le RER D" n'est pas à ça près
 
yeti

02/11/2005
22:06
re : HOMMAGE A GEORGES GUINGOUIN

C'est ce même journaleux qui nous en a fait des tonnes avec l'oeuf de Fabius à la fête de L'Huma et qui, prenant sans doute ses désirs pour la réalité, laissait entendre que cela pourrait bien "prendre une dimension «politique» suivie de conséquences, comme l'affaiblissement de Laurent Fabius auprès de ses propres amis socialistes.".
 
yeti

02/11/2005
22:15
re : HOMMAGE A GEORGES GUINGOUIN

Les nôtres : deux héros de la classe ouvrière viennent de mourir.

Tous deux, à l'âge respectable de 92 ans, comme quoi être un héros de la classe ouvrière, ça conserve.
Georges Guingouin, instituteur communiste et syndicaliste, révoqué par Vichy, s'est caché dans les bois du Limousin en 1941 et a commencé à organiser des expéditions punitives contre les profiteurs du marché noir. En dehors de toutes consignes de son parti qui avait, quant à lui, commencé cette période en sollicitant la parution légale de l'Humanité à la Kommandantur, il se trouve à la tête de ce qui deviendra le plus important de tous les maquis de France. La direction des FTP envoie un agent pour l'exécuter en 1943, mais Guingouin le fait séquestrer. En 1944, il refuse les consignes militaristes et aventuristes de prendre Limoges et de risquer, comme à Tulle, de provoquer un carnage de civils par la division SS Das Reich, celle d'Oradour ; mais par contre, là où les combattants de Guingouin entrent, les patrons doivent soit partir, soit accepter la gestion de l'usine sous le contrôle des élus du personnel, des délégués du maquis et de la CGT reconstituée. Il "décrète" l'expropriation de Dunlop à Montluçon. 150 hommes en 1943, 500 fin 1943, 2000 au printemps, 14 000 en juin, 40 000 en août : c'est une armée qui sort de terre, armée de la guerre nationale et sociale de libération. Guingouin est -déjà- surnommé le "Tito du haut Limousin".
Plus qu'un "Tito", qui a certes rompu avec Staline, mais qui était lui-même un chef militaire interdisant toute démocratie dans les rangs, Guingouin était un homme de la race d'Arias Velouchiotis, alias Thanasis Klaras, le bâtisseur des andartes grecs, les combattants de la montagne, issu de la base du PC et non de la direction, et décapité par les officiers fascistes sur ordre des anglais, avec accord de Staline, à la "Libération". Comme Klaras, Guingouin, qui ne s'en laissait pas compter les armes à la main, est discipliné, une fois la "Libération" effectuée. Il ne pourra pas résister à la purge dirigée contre lui : maire de Limoges, il laisse une cabale se monter à l'instigation de la droite, des anciens pétainistes et de l'appareil du PCF, contre ses "exactions" pendant l'occupation. Il sera progressivement mis au ban du parti, et de la société. Après les affaires Marty et Tillon, le parti stalinien français parvient à faire enfermer Guingouin et un assassinat clinique est tenté contre lui. Il tient.
Ce vieil homme alerte était resté jeune et fidèle aux idéaux de sa jeunesse, aux traditions du mouvement ouvrier limousin.
A lire ou relire : l'affaire Guingouin, de Michel Taubman, éditions Lucien Souny.
A examiner : le site du Cercle Gramsci de Limoges, http://www.cerclegramsci.org/index.html, où il est beaucoup question de Guingouin.

Rosa Lee Parks, couturière noire à Montgomery, Alabama -l'Etat où le port des chaînes dans les pénitenciers a été rétabli voici quelques années- est cette femme qui, un jour -c'était le 1° décembre 1955- a refusé de céder sa place à l'avant d'un bus à un blanc. Arrêtée et mise à l'amende, elle appelle les noirs et tous les démocrates authentiques de toutes couleurs à mener campagne contre l'iniquité. Cette militante du mouvement pour l'émancipation des hommes de couleurs avait combattu, jeune, aux côtés de son père, contre les pogroms des « courageux » cagoulés du Ku Klux Klan.
En décidant de s'asseoir, elle a aidé un peuple à se lever : cette affaire connaît un retentissement extraordinaire. Les noirs de Montgomery pendant plus d'un an boycottent les bus et vont travailler à pied. Le mouvement de boycott, qui ne s'arrête qu'à la victoire, est organisé par un jeune pasteur baptiste de la ville, Martin Luther King. Le mouvement dit "des droits civiques" était engagé.

Source : La Lettre de Liaisons n°155 du 30/10/2005

 
guydufau

03/11/2005
01:37
re : HOMMAGE A GEORGES GUINGOUIN

Ses obsèques auront lieu vendredi 4 novembre à 16 heures, au cimetière de Saint-Gilles-lès-Forêts, en Haute-Vienne, haut lieu des maquis anti-nazis
Adressé au Décideur actuel, ex-vendeur de l'Huma, Georges Guingouin ne mérite-t-il pas d'entrer au Panthéon ?
 
La reine des plombs

03/11/2005
01:43
ce heros vaut mieux que ton pantheon décousu

S'il faut faire entrer au Panthéon tous les héros que le PC a persécutés sur ordre de la chienlit rouge, on est bons pour raser le pâté de Soufflot et y mettre à la place au moins la tour montparnasse huh

La reine
 
Retour à la liste des messages

Page générée en 0.08 seconde(s) par la technique moderne