 Archives 2003-2008 du forum de discussions sur France Culture Le forum de discussions sur FRANCE CULTURE du site DDFC est fermé mais vous pouvez accéder en lecture aux 35.000 messages d'auditeurs archivés, ainsi qu'aux fameux SMILEYS et DÉCALCOS. Mention légale : les textes, idées et contenus présentés ici n'engagent que leurs auteurs à titre personnel et non le propriétaire du site DDFC.
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| Flora Tristan 31/05/2004 17:59 |
Biographie de Laure Adler |
LAURE ADLER  Journaliste et femme de lettres française Née à Caen le 11 mars 1950 SA BIOGRAPHIE Laure Clozet passe son enfance en Afrique où son père est ingénieur agronome. Elle ne connaîtra pas la France avant l'âge de dix-sept ans. En 1968, elle rencontre Fred Adler, ethnologue, son premier mari. Après une thèse d'histoire sur les féministes au XIXe siècle, la jeune femme entre à France-Culture en 1974 comme secrétaire, ne se doutant certainement pas qu'elle en deviendrait la directrice, quelque 25 ans plus tard. A son grand étonnement, elle est nommée conseillère culturelle auprès de François Mitterrand, en 1989. En 1993, la journaliste se lance dans une carrière télévisuelle avec 'le Cercle de minuit', sur France 2, dont elle assure la production et l'animation durant quatre ans. Responsable des essais et documents chez Grasset à partir de 1997, elle se voit proposer le poste très convoité de directrice de France-Culture en janvier 1999. Sa gestion de la programmation de la station, qui bouleverse les habitudes des auditeurs, est d'abord très contestée. Fidèle à son image de "grande dame de la Culture française", Laure Adler a écrit de nombreux ouvrages, dont une biographie de Marguerite Duras, très commentée, sortie en 1998. Dans 'A ce soir', publié en 2001, elle évoque, dans un registre beaucoup plus intime, la mort de son fils Rémi, survenue dix-sept ans plus tôt. En dépit de ce brillant parcours, Laure Adler aime à résumer sa vie professionnelle en un mot : "chance". SES ANECDOTES > Une saltimbanque à l'Elysée Lorsqu'elle est nommée à l’Elysée pour suivre les problèmes de la culture, elle déclare : "Moi, Laure Adler, la bohémienne, la saltimbanque, au milieu d’énarques zélés ?". Elle tirera un livre de cette expérience : 'L’Année des adieux', sorte de chronique de la fin du règne de François Mitterrand. > Identification Elle aurait aimé ressembler à Flora Tristan, révolutionnaire du XIXe siècle, qu'elle décrit comme "intrépide, courageuse ; une intellectuelle engagée qui sacrifia sa vie pour ses idées". > Elle aime... Son auteur préféré est Marcel Proust. http://www.evene.fr/celebre/fiche.php?id_auteur=12775 |
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| La reine des belges 18/07/2004 00:14 |
compléments historiques |
C'est un peu bizarroïde tout ça... Avec une thèse d'histoire en 1974 on peut devenir secrétaire ? Pour ce qui est de "Fr2 : Le cercle de Minuit" : Laure Adler a non pas créé mais saboté cette émission (contrairement à ce qu'on peut lire dans le désespérant supplément radio-télé du Monde - 9 juillet). Le créateur du Cercle de minuit (ou émission de titre proche, mais la formule était bien là) fut Michel Field, et quoiqu'on pense de la suite de sa carrière de star-télé-marchand de soupe, son émission de minuit était d'excellent niveau. Signalons que Field était présenté comme un ancien de France Culture, ayant appris l'art du direct chez Dechavanne : peut-être les futurs limogés de F-C se présenteront comme des employés de Dechavanne ayant appris l'art du direct sur France Culture. Quoiqu'il en soit, l'émission avait meilleure tenue quand elle était dans les pattes de son fondateur Field puis de Philippe Lefait. Laura Delair qui est une habituée des sabotages culturocides, y développa son fameux style d'interview basé sur quelques principes simples : poser des questions ultra-plates et totalement à coté du sujet, autant que possible des questions de midinette ; faire marcher la corde sensible mais surtout pas les lobes du cerveau ; interrompre régulièrement l'invité surtout quand il a envie de terminer ce qu'il a commencé à expliquer ; orienter systématiquement le débat vers de l'anecdote. Ce style d'interview qui est en quelque sorte la marque personnalisée de Laura, les auditeurs de FC en ont eu l'illustration à la fin 2003 dans son "A voix nue : Georges Steiner" (fin 2003), à ceci près qu'elle n'ose pas interrompre le Grand Homme, qui a bien du mérite à tartiner quelque chose d'audible avec les questions qu'elle lui pose entre deux éloges du magnifique jardin qui sert de cadre à l'entretien. Pour compléter ce complément biographique, il importe également de signaler un clône féminin de Laura-Delair-intervieweuse : on a retrouvé exactement le même style la semaine dernière dans "A voix nue : Jean-Louis Trintignant", dont l'interview visiblement réalisée par un clône de Laura (Armelle Heillard ?)alternait questions de psycho-gnangnan du genre "et qu'avez vous ressenti quand...." , avec des ponctuations dramatisantes-émotionnelles. Les habitués de la tranche 12-14 connaissent un autre enfant spirituel de Laura, celui-là de sexe masculin, en la personne de Marc Voinchet : son art de l'interview consiste à ne jamais laisser le débat devenir trop intellectuel, ce qui représente une sorte d'exploit vu le discernement que ça réclame. Par pitié pour l'état de décomposition avancé de son travail, on n'examinera pas ici ce qui est arrivé à Jean Lebrun depuis qu'il suit les préceptes de la patronne. Ces trois exemples nous prouvent que, sur la partie des troupes qui arrive à ne pas se faire éjecter, l'influence de la directrice n'est pas un concept creux. Pourtant, sur France Culture, certains producteurs ont prouvé qu'on pouvait faire du direct vivant, du direct culturel, du direct excellent (Panorama était en direct que je sache, et Culture matin aussi), et que, tant qu'il restait encore assez d'émissions mitonnées pour satisfaire l'auditeur allergique au "tout-direct", la réduction de la part du documentaire n'était pas encore un drame EN SOI. Le drame, c'est le style neuneu-cucul de ce direct qui, ukasé par la patronne, promeut des clones creux (Demorand) ou dégrade des hommes de radio de grand talent (Lebrun) ou même de talent moyen (Voinchet). Henry Fay, en tant que fan d'Emmanuel Laurentin, a donc du mouron à se faire sur l'évolution de son poulain, qui, s'il est aussi bien cornaqué que les précédemment cités, ne manquera pas de nous servir un chocolat imbuvable. Ca ne sera hélas pas une première sur France Culture. LRDB |
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| josue 18/07/2004 00:42 |
misère de misère de misère.... |
.... mais que va-t-on bien pouvoir écouter désormais????? |
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| Yann 18/07/2004 01:01 |
re : Biographie de Laure Adler |
http://www.bbc.co.uk/radio4 La solution à tous vos maux! La culture est ailleurs, dit Yann, habillé en homme-sandwich et agitant une clochette! Mettez-vous à l'anglais, ou faites des cassettes des rediffs de la nuit. Couvrez-vous, l'hiver nucléaire approche, malheur à ceux qui ne se seront pas pourvus en bois et en fourrures... A part ça, c'est vrai que ce forum, tout indispensable qu'il soit, ne remplacera jamais une réaction de l'intérieur de FC... Pourquoi ne se passe t'il rien de ce côté-là? La peur d'être viré? J'ai du mal à croire que les vrais artisans de la radio soient tous derrière le nouveau chantier qui se prépare. Alors faites-nous un signe, un petit rien, pour nous prouver que Laure Adler n'a pas tout le pouvoir qu'elle se targue de posséder. Yann  |
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| Louise 18/07/2004 14:40 |
re : Biographie de Laure Adler |
http://perso.wanadoo.fr/fpf/bip/bip1513.html Service radio : Carême protestant [Retour au sommaire] Vendredi 2 mars, Mme Laure Adler, directrice de France-Culture, a annoncé à Mme Danielle Jeanne, productrice des émissions protestantes du dimanche matin sur France-Culture et responsable du service radio de la Fédération protestante de France, que les émissions du Carême protestant programmées en 2001, le samedi à 6h30, allaient être finalement diffusées le dimanche à 17h15, juste avant le Carême catholique. Laure Adler a expliqué qu'elle avait été sensible à la demande des très nombreux auditeurs, qui ont manifesté, dans un abondant courrier, leur attachement au Carême protestant en demandant à ce que la programmation soit faite à une heure raisonnable. Laure Adler a justifié cette nouvelle programmation en disant : " Il faut savoir écouter les auditeurs. " Son secrétariat a pris la peine d'appeler les auditeurs mécontents pour leur annoncer la bonne nouvelle. ! ! ! ! ! ! ! ! |
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| Henry Fay 18/07/2004 15:27 |
les artisans de la radio ont le dos au mur |
Je ne veux pas me mêler de ce qui ne me regarde pas et parler à la place des autres mais il me semble que les artisans de la radio ont le dos au mur. Quand la philistine (au sens figuré, c`est sans doute une injustice pour les philistins de l'antiquité dont le seul tort est d'avoir eu en face d'eux les Hébreux qui ont laissé des écrits) Laure Adler déclare dans son désormais célèbre interviou "la radio, c'est le direct", ils doivent comprendre que c'est la fin de leur admirable métier. Ils en tireront les conséquences et celles-ci devraient normalement être à la hauteur du péril qui les menace.  PS Y aurait-il quelqu'un qui pourrait me dire comment on fait sortir un y tréma sur un clavier qwerty? |
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| Henry Faÿ 05/08/2004 17:45 |
la philistine à la télévision |
"Quoiqu'il en soit, l'émission avait meilleure tenue quand elle était dans les pattes de son fondateur Field puis de Philippe Lefait. Laura Delair qui est une habituée des sabotages culturocides, y développa son fameux style d'interview basé sur quelques principes simples : poser des questions ultra-plates et totalement à coté du sujet, autant que possible des questions de midinette ; faire marcher la corde sensible mais surtout pas les lobes du cerveau ; interrompre régulièrement l'invité surtout quand il a envie de terminer ce qu'il a commencé à expliquer (ajout HF et qu'il dit quelque chose d'intéressant) ; orienter systématiquement le débat vers de l'anecdote". C'est tout à fait le souvenir que j'en ai gardé. C'était de la culture spectacle. Elle rassemblait d'énormes plateaux ultra prestigieux pour ne donner la parole à ses invités que quelques dizaines de secondes par personne. Bien entendu, dans ces conditions, pas qestion qu'il y ait un véritable débat. Ses questions étaient si niaises, si gnan-gnan que je me demandais en entendant ça: "est-ce qu'elle est idiote ou est-ce qu'elle fait semblant?" Elle présentait l'émission mais ce n'est sans doute pas elle qui la préparait. J'ai en particulier le souvenir d'une émission sur l'Islam avec Mohamed Arkoun où elle avait l'air de s'ennuyer ferme et de ne rien y comprendre. Ca ne se passait pas toujours bien pour elle. Une nuit, Jean Clair l'a complètement déstabilisée. Malheureusement, je n'en ai pas gardé l'enregistrement. L'émission, comme son nom l'indiquait passait à minuit ou encore plus tard. Un peu de culture spectacle à minuit, c'est sans doute le régime auquel va nous mettre la philistine directrice qui n'a rien trouvé de mieux que RFI pour modèle. Pour ceux qui en voudront plus, il y aura une petite réserve d'indiens électronique (un site internet) qui sera désignée du nom de la défunte émission emblématique de France Culture et que nous aimions tant: "les chemins de la connaissance". Triste, triste, triste... |
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| Louise 05/08/2004 20:25 |
re : Biographie de Laure Adler |
Ah bon, elle est née Clozet, Laure Adler! Non, non, rien.  |
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| hubert de pér 05/08/2004 22:10 |
re : Biographie de Laure Adler |
Moi je l'aime bien Laure Adler. Beaucoup de charme en plus...Foutez lui donc la paix un peu... |
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| Louise 05/08/2004 23:07 |
re : Biographie de Laure Adler |
M'enfin, Monsieur Hubert de Pér, c'est-pas-nous-qu'on-a-commencé-c'est-elle-qu'elle-a-cassé -notre-radio. Mais je vous en prie, aimez-la, aimez-la, prenez-la chez vous et gardez-la.  gardez-la Faîtes ça et nous serons tous contents.   |
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| Guillaume 06/08/2004 00:31 |
re : Biographie de Laure Adler |
En effet... Moi, je l'aimais bien aussi, avant qu'elle ne casse France Culture... J'avais accueilli son arrivée à la tête de la chaîne culturelle avec le plus grand plaisir. Quelle déception ! Triste, vraiment... |
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| GOMEZ 06/08/2004 00:52 |
re : Biographie de Laure Adler |
Il est intéressant de savoir que ce forum est lu par des personnes qui ne savent pas ce que Laure Adler a fait subir aux auditeurs de France Culture... Ceci les instruira sans doute... Moi aussi, j'appréciais Laure Adler... avant... Comme tous les participants de ce forum, je pense... |
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| lionel 06/08/2004 09:46 |
re : Biographie de Laure Adler |
Triste de juger les gens sur leur charme et non leurs actes. Le charme, il y a des magasines pour ça. |
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| clopine trouillefou 06/08/2004 09:58 |
re : Biographie de Laure Adler |
Moi aussi je l'aimais bien laure Adler, avant. Elle est belle, en plus, et je me suis dit "tiens, une femme à la direction de france culture, voilà qui va peut-être un peu bousculer les "élites masculines". Et puis il y a eu la biographie de Duras. Je l'ai achetée à cause de la photo de couverture : Duras y est habillée, euh, enfin bref, disons que j'y voyais comme un reflet de ma propre garde-robe... J'ai lu la biographie : la vie de Duras y est bouleversante. Et j'ai une jolie anecdote à ce sujet. Parce que, dans la biographie, Laure Adler parle des recettes de cuisine de Duras, et reproduit la recette dela "soupe aux poireaux pommes de terre". Cette recette m'avait tellement plu qu'à l'époque, je l'ai recopiée et affichée dans ma cuisine. Là encore, je n'ai d'autre qualificatif que "bouleversante". Vous la connaissez sans doute ?? Bon, à quelque temps de là, chez Pivot, le dernier amant de Duras, Yann machin chose, était invité. Je regarde l'émission, assez mollement. Le Yann m'apparaissait avoir été dévoré vivant par Duras, et n'en être pas encore revenu;.. Un peu fade, assez sympathique tout de même, sincère. Et puis voilà-t-y pas que juste à la fin, Pivot l'interroge : le fils de Duras aurait eu l'intention d'éditer les recettes de sa mère, et lui, Andréa, exécuteur littéraire, se serait opposé à cette édition au motif que les recettes de cuisine n'"étaient pas de la littérature". Horreur ! Ce sympathique garçon maniait ainsi la censure et était suffisamment con pour estimer que les recettes sublimes de Duras n'étaient pas dignes d'être éditées ! J'ai cru rêver, non, cauchemarder !! Cela voulait dire qu'il y avait quelque part, d'autres recettes, d'autres textes, et que je ne pourrais jamais y accéder, à cause de ce petit péteux ! J'ai alors écrit au fils de Duras, qui m'a fait la gentillesse de me faire parvenir un exemplaire du livre de recettes, interdit à la vente par l'autre connard. Livre qui est devenu instantanément un des joyaux de ma bibliothèque. Et je hais tous les Andréa du monde. Mais du coup, j'étais très reconnaissante à Laure Adler de sa biographie. Mais voilà. Patatras. Elle aussi, comme Janus, Andréa, et Voldemor, a visiblement deux visages... allez, s'il faut se battre, on se battra ! Clopine Trouillefou |
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| Michel 06/08/2004 10:53 |
re : Biographie de Laure Adler |
Si Laure Adler pouvait comprendre que ce n'est pas parce qu'elle est une femme ou pour n'importe quel autre motif bidon que l'on critique son action à la tête de France Culture (motifs qu'elle a invoqués pour précisément ne pas écouter les critiques et les renvoyer à des positions minoritaires, marginales ou corporatistes quand elles venaient de l'intérieur), mais tout simplement en raison de cette action même, peut-être sortirait-elle de sa paranoïa et abandonnerait-elle son projet de faire de France Culture une radio comme les autres. Non, France Culture n'est pas une radio comme les autres. Oui, il y a des auditeurs fidèles pour ce type de radio : on parlait de 400.000. C'est l'équivalent du lectorat du Monde. Ce n'est donc pas rien. Si on transforme France Culture en RFI culturelle, on aura peut-être un auditoire plus important, celui qui pratique l'écoute flottante. Mais on aura perdu France Culture au passage. Si le Monde se rapprochait de Voici, il gagnerait des lecteurs... mais ce ne serait plus le Monde. L'exemple est caricatural, mais il permet de comprendre que ce n'est pas en faisant de France Culture une radio comme les autres que l'on peut lui permettre de se maintenir avec sa spécificité. France Culture évolue et tout changement n'est pas nécessairement négatif. Mais à condition qu'elle maintienne sa spécificité de chaîne culturelle : transmission du savoir, création radiophonique, patrimoine et innovation, culture, sciences, dramatiques, connaissance, plaisir, ... et un tout petit peu d'information et d'actualité, juste pour être au courant aussi... |
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| Henry Faÿ 06/08/2004 11:45 |
son chaaaaaaaarme |
C'est vrai que dans l'émission nocturne "le cercle de minuit", de son chaaaaaarme, elle jouait beaucoup. On se demandait si elle ne s'était pas trompé de plateau. |
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| DDFC 06/08/2004 14:40 |
re : Biographie de Laure Adler |
Message effacé : il ne faut pas d'insultes ni de commentaires sur le physique des personnes sur ce forum SVP  |
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| guydufau 06/08/2004 15:01 |
re : Biographie de Laure Adler |
C'est moi qui vient de procurer des soucis au webmaster,mille excuses. Je disais que Laure Adler n'était pas une mochetée,la preuve son interviev était accompagné de photos,tandis que Jean-Paul Cluzel...ne se risque pas à ce jeu (1)C'était une façon de dire qu'il ne faut pas oublier ses responsabilités (1)Avec quelques adjectifs peu élogieux,j'en conviens. |
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| Henry Faÿ 14/08/2004 14:58 |
s'il voulait |
Si le président GCL voulait faire de la concurrence à la grande philistine, il pourrait toujours poser nu pour têtu. |
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