Archives 2003-2008 du forum de discussions sur France Culture

Le forum de discussions sur FRANCE CULTURE du site DDFC est fermé mais vous pouvez accéder en lecture aux 35.000 messages d'auditeurs archivés, ainsi qu'aux fameux SMILEYS et DÉCALCOS. Mention légale : les textes, idées et contenus présentés ici n'engagent que leurs auteurs à titre personnel et non le propriétaire du site DDFC.


 La pétition SOS France Culture continue sur le site sosfranceculture.free.fr        Dictionnaire TLF 
 Recherche :
 Dans le fil

Retour à la liste des messages
laurent nadot

05/02/2004
23:16
Questions à Arnaud Laporte

Il y a quand meme des tas de choses dans cette brève passe d'armes avec Arnaud laporte. Je suggere qu'on continue à transformer ce fil de critique de Nick de Morr (de toutes façons il y en a pas mal d'autres, arf') et fil de discussion "real radio".

Première remarque : c'est la première fois qu'on a une réponse à nos récriminations zet raleries. Pour une fois qu'un homme de radio nous parle, c'est une occasion à saisir et certains d'entre nous l'ont fait.

Mais il y a encore à dire. Tiens je commence par çà, c'est une question :

- Que signifie une émission en bout de course ?
- Combien une émission hebdomadaire a-t-elle d'éditions en un an ? I mean : combien de sujets par an pour faire vivre une émission ?
- Le cinéma est il un sujet sujet à épuisement ?
- Le réservoir d'artistes/écrivains/essayistes/autres sortes de gens en vue et de culture, est-il susceptible de se tarir, au point qu'il n'en resterait pas 48 par ans à interviewer ?
- Comment une émission dont le sujet est assuré de connaitre un renouvellement éternel peut-elle être en bout de course ?

Voila, des questions pour faire suite à l'une des remarques d'A.L. Pour les autres remarques je mettrai ça ici plus tard espérons.

Cordialement

Laurent Nadot

ps : on peut bien me balancer que je suis un pauvre type parce que je beugle partout sur DDFC que Guy Dufau me fatigue. Je le reconnais : c'est vrai.
 
Retour à la liste des messages

Page générée en 5.82 seconde(s) par la technique moderne