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| GT 10/11/2006 22:42 |
Jeux d'archives |
Dans cette émission récente, Antoine Perraud nous dispense régulièrement des archives intéressantes (Gébé, Romain Gary, Cami, Arturo Benedetti Michelangeli...). Ces archives sont mises en valeur par un invité qui reste en général suffisamment discret. Le programme de demain me semble très alléchant : Avec Michel Lécureur qui a publié trois biographies aux Belles Lettres : Marcel Aymé, Raymond Queneau et, en 2005, René Fallet (René Fallet : le braconnier des lettres). Archives INA : Marcel Aymé, Raymond Queneau et René Fallet René Fallet mérite qu'on l'exhume du caveau pour un petit bonheur posthume, comme eût certainement dit son compère Brassens. Pour nous-autres, les râleurs qui demandons depuis belle-lurette (et triste laurette) des archives à tous les étages, cette émission méritait qu'on la signalât. Non ?  GT la grouikaille |
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| Agnès 02/04/2007 09:07 |
re : Jeux d'archives |
J'oublie toujours d'écouter FQ le samedi aprème. Samedi soir, par inadvertance, entendu à Jeux d'archives un fragment d'interview d'Albert Cohen réalisé par William Carel - passionnant ce type. A part le plaisir d'écouter la voix si jeune d'AC alors âgé de 81 ans, dans un étrange discours à la fois apocalyptique et compatissant, stupeur d'entendre que cette interview (télé) d'AC est actuellement quasi censurée, tant l'écrivain s'était "lâché" et avait tenu de propos mal-pensants. (Je crois que c'est alors qu'il avait tenu des propos sur la laideur, à propos d'une des Marguerites, je ne sais plus si c'est Yourcenar ou Duras.) C'est quand même sidérant ! Quelque rageur que soit Cohen, je ne crois que ce soit un type dangereux pour la pensée ! |
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| LRDB 02/04/2007 12:05 |
le jour où pierre perret m'a dégoût&eac |
Oui c'est Yourcenar. Les propos de Cohen ont été par la suite encore amplifiés et enlaidis (ils n'en avaient pas besoin) par le grand intellectuel Pierre Perret au micro de Francesca Isidori, me semble-t-il, pendant l'été 2000 ou 2001, dans un exercice de moraline tout à fait gerbique : le tartuffe Pierre Perret, nain littéraire dont le seul atout est certes une incomparable verve au petit niveau de la formule, mais qui ne tient pas un millième de la distance que peut tenir Cohen, se payait le luxe de liquider un auteur véritable dont il n'approche pas le bout de la semelle. C'était tout à fait dans la note gainsbourienne : "je pratique un art mineur et les arts mineurs enc..... les arts majeurs". Désespérant de tartufferie et de moraline. LRDB |
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| Agnès 13/10/2007 21:58 |
re : Jeux d'archives |
Bonheur d'entendre au vol - en épluchant les carottes d'un pot-au-feu de joue de boeuf    - la voix
familière et depuis si longtemps disparue de Vassilis Alexakis
   .Et l'anecdote contée par Antoine Perraud, qui juvénile visiteur du Mont Athos, se fit poursuivre par un moinillon brâmant "Eros !Eros !". Et Perraud de fuir s'enfermer en répondant : "Thanatos !"  |
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| LN 19/01/2008 19:37 |
Cendrars dans Jeux d'archives |
Héhé ce soir il y a des merveilles dans JdA. J'avais failli boycotter l'émission à cause de l'invité, mais finalement ses commentaires ça s'écoute sans dommages. Les extraits d'archive sont croquignolets : il y a Cendrars qui met un peu en boite son interviewer Michel Manoll. Et puis tiens à l'instant Burroughs himself hm bizarre ça L. |
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| LN 23/02/2008 19:11 |
Histoire de la radio dans Jeux d'archives |
Un peu désaffecté de Jeux d'archives ces dernières semaines, sans bien savoir si c'est du fait des invités, ou bien des extraits choisis, ou encore suite à la tartufferie d'Antoine Perraud sur MediaPart. Et puis ce soir, bonne surprise : Benoite Groult a demandé à écouter de la vieille radio. Ca commence ake de la Tribune de Paris de 1947 repéré à son indicatif-tariatata et voila que malgré le choix plus ou moins pipole-privatejoke qu'a fait Antoine Perraud en rediffusant en une seule séquence deux ex-maris de l'invité, ça s'annonce assez intéressant notamment pour les radiomanes collectionneurs. |
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| LN 23/02/2008 19:42 |
Perraud m'épuise |
Ouais... Ouais ? Ouais euh en fait Non ! Trop fatigant le ton histrionnique d'Antoine. Trop mal joués ses étonnements fictifs (il imite le Bernard Pivot des dernières années ?) et too much outrés sa fausse naïveté et son ton excessif un peu comme le couple Baddou-Duhamel de la semaine passée. Non franchement il vasouille l'Antoine Perraud, face à l'octogénaire étoile du féminisme des 50's, avec ses "mais comment fut-ce possiiiible ? " qui sonnent beaucoup trop FAUX pour ne pas, assez rapidement, fatiguer l'auditeur déjà un rien démotivé par le cinéma permanente qu'est devenu cette station. Cinéma de Narcisses qui s'auto-congratulent en boucle et oublient qu'il y a eu de l'auditeur qui aimait, il y a quelques années, se brancher sur FC pour échapper au creux et stérile étalage de complaisance de la télé. Antoine Perraud qui deviens le Jacques Chancel de FC, tu m'épuise. Décepzione : JE COUPE  |
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| LN 23/02/2008 19:50 |
re : Jeux d'archives |
Terrible déception : je n'ai coupé que quelques minutes avant l'heure de fin. Damn it. Même pas le plaisir d'échapper à la pommade de Perraux. Bon je vais aller foncer sur son facebook pour voir s'il a l'air aussi tête-de-cul que le Kessemane. |
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| Nazdeb 25/02/2008 11:30 |
re : Jeux d'archives |
(LRDB) "Trop fatigant le ton histrionnique d'Antoine. Trop mal joués ses étonnements fictifs (il imite le Bernard Pivot des dernières années ?) et too much outrés sa fausse naïveté et son ton excessif un peu comme le couple Baddou-Duhamel de la semaine passée. Non franchement il vasouille l'Antoine Perraud, face à l'octogénaire étoile du féminisme des 50's, avec ses "mais comment fut-ce possiiiible ? " qui sonnent beaucoup trop FAUX (...)" Voilà assez fidèlement et bien mieux formulé que je n'aurais pu le faire ce que je pense d'AP, cet ennuyeux papoteur rococo, sirupeux, chantourneur de guimauve, enfin tout ce qu'on veut dans ce goût-là. J'ai dû écouter deux ou trois JdA depuis la création de le programme, j'ai complètement décroché. Mais la cause n'est pas seulement l'histrion, le format même de l'émission me déroute, ce dispositif qui rend, à mes oreilles, un résultat artificiel et bancal : on ne sait pas très bien de quoi ça cause, de l'invité ou bien de moments piochés dans l'histoire du XXe ?  |
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