Archives 2003-2008 du forum de discussions sur France Culture

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paul kobisch

13/12/2003
10:39
Rire des Dieux, larmes des Vivants

Nous avons entendu ce matin samedi 13 décembre un dialogue désormais classique entre deux personnes dont nous connaissons la consécration à ce qui passe pour le « spirituel ». Michel Cazenave et Jacques Brosse se sont livrés à une sorte de cantilène à deux voix dans un accord théorique et stylistique que Cazenave a le génie de fomenter et d’exercer avec l’air du séducteur philosophique ou du sage parlant. Il est incontestable que ces deux hommes parlaient de l’essentiel sous la forme paradigmatique du Zen, dont on peut tout dire, c’est à dire aussi bien rien.

Bon, tel que vous me connaissez, et si vous avez écouté cette émission, vous attendez que je relève qu’au beau milieu d’une méditation ontologique abyssale, on se surprend à entendre Jacques Brosse déclarer qu’il va à la messe et qu’il y communie. Vous attendez aussi que j’en profite pour placer mes petits décèlements d’intentions en remarquant cette intrusion du catholicisme dans un dialogue qui portait d’abord sur le Zen et donc la question de l'être. Le terrain était bien entendu bien préparé puisqu’on avait placé Maître Eckart en bonne place, histoire d’universaliser cette spiritualité qui prétend accorder le vide et la foi qui conduit au banc de communion.

Mais non, cela ne m’intéresse pas, ou plus. L’hypocrisie de France-Culture, qui n’en rate pas une pour replacer son église catholique dans une légitimité quelconque, n’importe laquelle, pourvu qu’elle figure dans le décor, est passée dans une réalité sur laquelle on se prononce ou bien sur laquelle on se tait, mais pour laquelle il est inutile de ressasser une indignation qui laisse les responsables médiatiques indifférents. La raison pour laquelle je me manifeste à nouveau à propos de l’émission de Michel Cazenave, va prendre la forme d’une question qui ne porte pas seulement sur cette prestation particulière du 13 décembre 2003, mais sur l’ensemble de tous ces acting-out de l’Esprit par le biais de l’alliance de l’érudition et de je ne sais quelle affectivité ontologique.

Mais oui, Michel Cazenave, je te demande simplement ceci : pour qui répands-tu, répandez-vous, toi et Brosse, toi et tes dizaines d’autres érudits, toute cette parole si proche de la question de l’être et si confortablement installée dans quelques bras morts de la praxis humaine universelle ? Dans l’Antiquité et même dans le Haut Moyen-Âge, le bouddhisme s’est répandu à travers toute l’Asie, saisissant dans sa vérité propre et donc dans des praxis vivantes, des millions d’individus qui ont finalement fait sa fortune exactement comme les peuples écrasés par la terreur militaire ont fait la fortune du Christianisme complice des pouvoirs armés. Aujourd’hui, l’un comme l’autre n’ont plus cours nulle part, comme forme de l’être-là social, ils sont devenus des antiquités que vous distillez techniquement pour un happy few qui connaît Maître Eckart, Nicolas de Cues et Patandjali. Mais que faites-vous ? Quelle action est la vôtre ? Nous bercer de poésie le samedi matin sous le coup de huit heures ? Nous faire partager votre jouissance, je cite, de l’ « apercetion », du vide plein d’énergie ?

Je ne me moque pas. Je vous pose une question sérieuse : vous vous permettez de traiter, là, devant l’araignée de micros d’un studio parisien, de la question la plus essentielle du destin de l’être humain pour finir par nous révéler que les pratiques issues de vos théories vous permettent de rire de la vie, et de rire de la mort. C’est sérieux tout cela ? Vous ne vous foutez pas un peu de la gueule des gens ? Au sens où tout cela implique au départ déjà, le cantonnement dans des pratiques sectaires (par exemple le Zen ou la méditation transcendantale) dont les masses sont à peu près aussi éloignées que des anciennes religions les plus banales. Religion dans les religions, votre « docte ignorance » vous suffit à vous, Michel et Jacques ? Et les autres, dont vous vous gargarisez au point de dire que l’essentiel c’est « l’autre » et non pas soi-même ? J’avoue ne rien comprendre à votre comport ontologique, sinon qu’il conforte l’égoïsme catholique fondamental du chacun pour soi et Dieu pour tous. Hé bien, je n’ai rien à dire d’autre que ceci, votre rire ainsi défini n’est qu’une insulte pour les larmes de milliards d’êtres aussi humains que vous. Je veux bien admettre que votre studio a quelque chose des catacombes romaines, mais si St Pierre avait tenu à ses disciples le genre de discours que vous tenez à l’antenne, le Christianisme aurait fait pauvre figure dans les temps qui ont suivi. C’est un problème grave : le sage peut-il se contenter de sa sagesse, quitte à en rire de temps en temps avec un autre sage ? Ou bien l’histoire est-elle concernée par la question de la sagesse ? C’est curieux, mais l’émission qui a suivi la vôtre pose d’une certaine manière cette question, d’une certaine manière et avec le style de ces fauves médiatiques insupportables que sont Finkielkraut et Julliard. Heureusement la logique s’amplifie dans le bon sens, et dans quelques minutes nous aurons affaire à Jean-Marc Jeanneney. Nous serons alors au cœur du problème que vous refusez, méprisants, de prendre en compte. Il y avait une pensée derrière ce qui reste de l’ancienne France-Culture, un rythme symphonique qui s’est perdu mais que l’on peut encore sentir là où la grille est restée intacte, formellement.
Paul Kobisch

 
khalil vibran

13/12/2003
14:00
en ce temps là, PK disait à ses disciples

[...] ce jour où la foule s'était rassemblée au Jardin des Plantes pour écouter le maître. Paul Kobisch toujours suivi de la masse, gravit le promontoire du labyrinthe, tout près de cet endroit qui est le seul dans tout Paris où la Bièvre coule encore à l'air libre. Et quand Paul Kobisch se trouva installé au plus haut point du promontoire, assis à même le sol, alors de la foule de ses disciples une voix s'éleva "Maître, parle-nous du noyautage ? Et qu'en est-il de Ponte-Sconville ? Réponds nous s'il te plait, ô Paul..."




 
paul kobisch

15/12/2003
00:46
re : Rire des Dieux, larmes des Vivants

Au Webmaster et au pseudo-Gibran :
Etrange disparition d'un O final qui suggérait à propos du pseudo Gibran une appartenance au premier cercle .
Deux possibilités : 1 - le pseudo Gibran a fait une requête auprès du Webmaster
2 -le pseudo Gibran et le Webmaster ne font qu'un.
Dans le premier cas j'interroge le Webmaster sur ce geste pour le moins étrange et limite-correction.
Dans tous les cas je signale que la modification ne m'a pas échappé, qu'il faut laisser dormir les riverains de la Bièvre et Conte Sponville dans l'oubli qu'il mérite. Quant au noyautage, quel vilain mot, on dit "entrisme".
PK
 
kalil vibrant

15/12/2003
01:56
T'as raison Paulo

C'est bien, Paul, continue de fulminer contre des complots imaginaires, ça mène loin. Evangélise contre toute la civilisation occidentale, vu sa base judéo-chrétienne, tu décèleras bien de la propagande catho dans le moindre éternuement.

Il y a avait dans ce bref message un soupçon de parodie et un objectif : t'inciter à lacher un peu ce que tu sais au lieu d'allusionner. Cela dit je constate que le second degré ne passe pas, et je gage qu'au premier degré elle ne passera pas mieux, aussi je retire la question.

Ce fil sera donc consacré au Complot Universel. Il y restera de bon ton de vouer aux gémonies tout producteur et tout invité suspecté d'appartenance (même lointaine) judéo-catholique. Appartenance prouvée par quelques bribes dépistées dans leur baratin, aussitôt promues en preuves de prosélytisme. Donc tout le monde bientôt, le tour de jean-marc (sic) jeanneney ne saurait tarder.

Tant il est vrai que tout ressemble au clou pour celui qui tient le marteau....

X. (pas la peine de se casser à signer)

PS. "Idéologie dominante : imprègne tous vos gestes, jusqu'à la manière de tenir votre bite quand vous pissez"
(Daniel Percheron - Dictionnaire des idées épinglées - Eds Dernier Terrain vague. ISBN 2-86219-012-8)


(accessoirement : un pseudonyme bidon accompagné d'une adresse mail n'est pas un masque, il suffit de cliquer sur le pseudo pour savoir qui est le véritable auteur. Ca évite de prendre pour de l'incorrection un procédé fort courant de second degré).

 
paul kobisch

15/12/2003
07:16
re : Rire des Dieux, larmes des Vivants

Je crois que tu commences à débloquer. Il te fallait bien un masque, même pour ton "second degré" qui me paraît bien primaire, voire primitif. Mais ça ne répond pas à ma question de savoir comment tu as fait pour tripoter ton propre message. Au demeurant je m'en fous. Mais prends garde, tu es en train de perdre ton sang froid.
PK
 
DDFC

15/12/2003
07:43
re : Rire des Dieux, larmes des Vivants

> Etrange disparition d'un O final
??????????????????????????????????

Paul, vérifiez votre ordinateur!!!!!!!!!!! Je doute que Laurent/kalil vibrant dispose du mot de passe necessaire pour EFFACER un message ou bien des 2 mots de passe necessaires pour MODIFIER un message
 
paul kobisch

15/12/2003
08:38
re : Rire des Dieux, larmes des Vivants

Au Webmaster

Demandez-le lui. La première mouture finissait par le mot Paulo. Une ou deux heures plus tard, le o final avait disparu. Je peux me tromper, personne n'est infaillible, mais j'en donnerais bien ma main à couper. Nadot est peut-être plus fort en informatique que vous ne pensez. D'ailleurs le Paulo est revenu dans la réponse rageuse qui a suivi ma remarque.
bien à vous
PK
 
Michel

15/12/2003
10:07
re : Rire des Dieux, larmes des Vivants

Le probleme a France Culture n'est pas la trop grande place de la culture religieuse , mais la trop grande place reservee a l'actualite ! Une fois pour toutes, le debat ouvert par PK est un faux debat par rapport a l'urgence de reagir a la derive de France Culture : cette derive n'est pas religieuse mais journalistique !
 
paul kobisch

15/12/2003
11:42
re : Rire des Dieux, larmes des Vivants

à Michel
C'est vous qui le dites.
PK
 
Michel

15/12/2003
12:44
re : Rire des Dieux, larmes des Vivants

Oui, mais je ne suis pas le seul a le penser...
 
guydufau

15/12/2003
13:03
re : Rire des Dieux, larmes des Vivants

"Cette dérive -de DC- n'est pas religieuse mais journalistique"
Quels sont ces journalistes qui déplaisent à Michel, ceux de la station, ou les extérieurs: les Colombani, les Meyers, les Casanova...y a-t-il trop d'information, ou bien cette information est criticable,orientée?
 
Michel

15/12/2003
13:21
Infos et Culture

Les deux : pour l'info, il y a France Infos et France Inter (sans parler des autres). Pour la culture, il y a(vait) France Culture !
 
paul kobisch

15/12/2003
15:40
re : Rire des Dieux, larmes des Vivants

Vous oubliez tous une chose fort simple, c'est que l'info se charge chaque jour d'un peu plus de religion, et que les émissions culturelles, de l'histoire jusqu'à la philosophie, tournent inlassablement autour des questions religieuses, par un bout ou un autre. D'ailleurs on pourrait dire qu'il se forme une sorte de débat interne autour de la prééminence du religieux sur le philosophique ou l'inverse. Autrement dit ont ne parle plus histoire ou philo, ou esthétique ou je ne sais quoi encore sans ramener la religion, comme si elle avait sa place naturelle partout. Cela s'appelle la banalisation thématique de la religion, ou encore le retour d'icelle dans nos chaumières culturelles. Bien entendu, il faut écouter autre chose que le 7-9.
PK
 
Henry Faÿ

15/12/2003
17:28
et ça ne m'étonne pas...

Les Eglises sont vides, les séminaires déserts, bientôt tous les prêtres auront la peau colorée et un accent exotique, les croyances flanchent... Et pendant ce temps là, la religion revient... par la bande. On peut l'apprécier comme on veut, moi, je suis le dernier à m'en étonner.
Ca n'étonne pas non plus Félix.

 
Guillaume

16/12/2003
11:03
Bouddhiste et chrétienne

Francesca Y. Caroutch, écrivain
Emission du 14 Décembre 2003



Francesca Y. Caroutch
© DR

Poète, essayiste et romancière, Francesca-Yvonne Caroutch est devenue une spécialiste du mythe de la licorne. Elle a publié sur ce sujet de nombreuses études. La dernière : La Licorne, symboles, mythes et réalités (Pygmalion, 2002). On lui doit également un roman L’homme de feu (Pygmalion, 2003) sur Venise, une biographie de l’étonnant Giordano Bruno, brûlé à Rome par l’Inquisition en 1600. Elle s’est également tournée vers le Tibet : La fulgurante épopée des Karmapas : les enfants de l’éveil (Dervy, 2000).
Un auteur qui cherche, en s’appuyant sur plusieurs supports, à dévoiler les mystères des mythes et des symboles.



 
dom

16/12/2003
13:48
re : Rire des Dieux, larmes des Vivants

a Henry,

Penses tu que l'on tente de remettre le troisieme pilier de l'état en marche, a savoir celui de la religion?
quel interet? d'autant que nous ne sommes plus que des mediocres, nous ne rayonnons plus depuis longtemps alors ce semblant de lithurgie, qui a commencer a ecxiter les religieux et les porteuse de voiles, l'integration c'est nous conformer a une religion d'importation?Les dieux se tordent de rire surtout si il sont a leurs images, les vivants n'ont qu'a bien se tenir d'autres se chargent de les faire pleurer.
Philosophie de bazar et autosatisfaction permanente est ce le prix a payer?
salut
 
Henry Faÿ

16/12/2003
14:11
de toutes façons, ça nous dépasse

Que l'on tente ou que l'on ne tente pas de remettre en marche le troisième pilier ne changera pas grand chose à l'affaire. La religion, même si le terme est plus qu'approximatif, cette aspiration à l'absolu, cette interrogation sans fin devant de mystère de l'être, elle est en nous, dans notre psyché, indéracinable, quoi qu'on fasse et quoi qu'on dise. Vous pouvez vous en indigner, crier au cléricalisme rampant, à l'obscurantisme, vous n'y pourrez rien, ça reviendra toujours.
Je viens de tomber sur une citation de Beaudelaire, qui n'était pas particulièrement un cul-béni: "il n'y a sur terre d'intéressant que les religions".
Les porteuses de voile, c'est un aspect plus que périphérique et accessoire du phénomène religieux. La liturgie, elle se porte très mal depuis Vatican II mais rien ne nous empèche de nous y remettre. Si vous voulez assister à une belle liturgie, allez donc à la cathédrale orthodoxe russe Saint Newski de la rue Daru, si vous êtes à Paris.

Il me semble que Félix est assez d'accord. La liturgie orthodoxe, il adore...

 
paul kobisch

17/12/2003
16:02
re : Rire des Dieux, larmes des Vivants

Cette liturgie orthodoxe je l'ai vécue en Grèce dans les années 50, croyez-moi c'est à vous couper le souffle. Mais la réduction de la question de l'être à la religion est quand-même très insuffisante, cher Henry. La religion s'est permise de substantiver l'être en une personne (ou entité si vous préférez) transcendante, et cela seul la disqualifie à tout jamais de toute participation au travail ontologique. Voilà la seule racine de mon athéisme si agressif. L'oubli de l'être commence avec les religions orientales maquillées par Platon en pseudo questionnement ontologique que les anglo-saxons, cette fois, ont raison de récuser sous le label de la "veritas". Le clergé dont vous parlez n'a rien à faire ni de la question de l'être ni de l'"aspiration à l'absolu", expression qui est une simple métaphore poétique, et encore de mauvaise poésie. Il ne faudrait pas généraliser la situation cléricale vue par l'oeil et l'esprit d'un Bernanos. Ce Chrétien-là nous décrit précisément le débat tragique entre foi et doctrine.
Mais j'écris à un nostalgique de la liturgie d'avant Vatican II, regrettée même par les athées qui l'ont connue, et pour cause, elle était tout ce qui restait des rites païens que l'on peut désormais trouver en Afrique dans les rites des religions syncrétiques. Kimbanguisme ou Mbwiti, c'est un régal.
Direction Kinshasa ou Libreville et tant pis pour le latin et les bonnes odeurs d'encens !
Merci de prier pour mon âme perdue à tout jamais.
Bien à vous.
PK

 
Henry Faÿ

17/12/2003
22:23
fanfares kimbamguistes et autres questions

Réduction de la question de l'être à la religion: je ne le préconise pas du tout et on n'y est pas obligé. Je constate seulement que beaucoup le font et ce n'est pas prêt de s'arréter.
"la religion se serait permis de substantiver l'être en une personne et cela la disqualifierait de toute participation à tout travail ontologique". Pour autant que je comprenne ce que ça veut dire je dirais que cette opinion, exprimée de façon bien catégorique est loin d'être partagée par tous les philosophes et qu'elle ne s'impose pas à l'esprit. Elle appelle la question: "et pourquoi cela la disqualifierait-elle?"
Après ça, les considérations sur Platon, les anglo-saxons, deviennent trop allusives, pas assez explicites, sous cette forme je ne les comprends pas assez bien pour les discuter.
Le clergé, je n'en parle pas dans mon message mais je ne vois pas pourquoi il serait récusé d'avance. C'est un peu un lieu commun que de toujours dire du mal du clergé, de le traiter comme quantité négligeable.
Aspiration à l'absolu, c'est une expression qui de toutes façons me parle... Je suis peut-être un peu primaire...
Bernanos je l'avais lu il y a bien longtemps, ce n'est plus qu'un vieux souvenir, je ne suis pas en mesure de m'appuyer sur lui.
Que le chant grégorien soit une survivance des rites payens, ça ne me génerait en rien si c'était vrai mais tout de même la proposition est surprenante. Il faudrait l'étayer.
Les fanfares kimbanguistes sont bien sympathiques mais elles ne représentent pas le summum de la musique liturgique. Si on parle de l'Afrique, il ne faut pas oublier les liturgies catholiques, très vivantes, très joyeuses, pleines d'inventivité et d'énergie, que le Vatican n'a accepté qu'à regret et après combien de temps... Si on est à Paris et si on est amateur de musique sacrée, on peut aller à l'église Saint-Gervais Saint Protais. Je n'y suis pas allé, mais il paraît que c'est très bien et d'ailleurs ils s'inspirent beaucoup des chants orthodoxes.

 
paul kobisch

17/12/2003
22:50
re : Rire des Dieux, larmes des Vivants

merci d'avoir répondu avec tant de précision. Je me permettrai de vous répondre à mon tour dès demain.
bonne soirée
PK
 
laurent nadt

18/12/2003
00:46
angwasse

indice fatal : la brièveté inhabituelle de ce dernier message m'inquiète, si différent kil est de l'habituel tartinage...

je crains gravement qu'ayant finalement admis s'être lui-même halluciné sur l'imaginaire lettre terminale imaginairement supprimée par un imaginaire hacker, le PK aura appliqué le plan dit par lui, et a fini par se la scier la main, pitètre même se l'arracher. ake les dents ? hélas quatre hélas, ça prive le public d'ici d'une authentique pensée, regrettable....

le Dr lacan eut été captivé par cette "lettre piquée", mais je ne m'inquiète que d'un détail : sciée arrachée mangée, bah peu me chault... mais dis, dis, dis : la main que tu t'es enlevée, est-ce la gauche ou l'autre ? vala qui m'inquiète sérieux...

merci de me rassurer sitiplit

LN


ps : il n'y a pas dans ce message une seule présence de la lettre située dans l'aphabet entre N et P
(s'agit pas kiss arrache la deuxième...)


 
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