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| La reine des belges 12/05/2005 12:11 |
Léger Strabisme Divergent - 4 |
J'ai gardé pour la fin la VRAIE version, réservée aux happy fews de DDFC ayant suivi les événements de l’hiver 2003 (depuis baptisée « l’année terrible »). Le titre véritable est : "Laurent Nadot rattrapé par Murièle Bérhault"   Voici ce qui s’est passé mercredi matin. Laurent Nadot s’est levé à l’heure pour aller au café des sportifs retrouver Vile Toque et Guy Du faux. Comme il a du mal à émerger après la cuite d'hier soir la 123ème depuis le premier janvier 2005, Nadot a vraiment le crâne qui lui joue la symphonie pour billes d’acier et gobelet d’étain. C’est en remontant la rue Thiers qu’il croise Murièle Bérhault (devenue entre temps madame Vile Toque) et qui est employée comme soudeuse par correspondance aux ateliers de Tréglonou en prévision d'un lâcher de barques sur l’Aber Benoit (cf carte de Plabennec au 1/25 000 N°00416 série orange). Le travail de Murièle consiste à faire de la soudure subliminale. Les soudures sont stockées dans l’atelier des pêcheurs fraternels qui fait face au Lavomatic du prolétariat. Ensuite les soudures sont puis emmenées par Guy Dufau et sa juva4 au chantier de Tréglonou (à 6km par le D28). En fait Murièle ne le sait pas mais elle travaille pour les ateliers nationaux, forme moderne des assistances sociales car il y a bien longtemps qu’on ne lâche plus de barques à Tréglonou. L’image montre Laurent tellement bourré qu’il est sorti de chez lui en emportant juste la couverture de Badminton pour masquer sa virilité qui ferait rien zone quand on prétend être la reine des belges. Et son désespoir d’être tombé sur murièle qui menace de lui cramer le museau avec le fer à souder qu’elle tient encore dans sa main (gauche). Laurent promet de ne plus jamais boire le lendemain des jours de cuite ce qui va faire chuter son taux d’ivrognerie d’environ 50% c’est toujours ça. |
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