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DDFC

12/02/2005
01:43
Black and Blue

Des mélomanes timides me suggèrent d'ouvrir un fil sur l'excellente émission Black & Blue... Je mets donc Birdland de Weather Report dans les hauts parleurs, me prépare un Blue Lagoon (vodka, curaçao bleu, jus de citron) et voilà, le fil est ouvert!


 
CA

12/02/2005
10:24
On se fait peur

Ah ben, merci chef, formidable ce fil pour une émission qui ravit ses fans.

Pas le temps aujourd'hui de revenir sur l'excellence de B&B, mais juste une remarque rapide pour relever les mots par lesquels cet inconscient d'Alain Gerber a ouvert son émission d'hier :
"Bonsoir, c'est l'insubmersible de France Culture, Black & Blue".

Si c'est de l'ironie, comme on peut s'y attendre de la part d'Alain Gerber, c'est carrément suicidaire. Insubmersible n'est pas Laure Adler, on l'a vu avec les émissions les plus plébiscitées.

Et si Elle avait entendu ? Brrrr, on en tremble. Reste à espérer que Laura Destroy était occupée à quelque dîner en vile hier soir (oui, oui, oui, en vile, sans faute de frappe).

Christine

Patrick.... tu arroses la "Pizza Tuileries" d'un Blue Lagoon ?????? Est-ce bien raisonnable ??? Ah merci pour le générique du fil !
 
guydufau

12/02/2005
10:27
re : Black and Blue

Ecouter les émissions d'Alain Gerber,sur France Musiques (le jazz est un roman) ou sur France Culture, quel plaisir !
A choisir, dans les hauts parleurs, j'aurais préférer "en voyageant sans bagage"..."quelquechose qui va loin"
 
GT

12/02/2005
19:21
re : Black and Blue

Ouep, moi aussi je suis un amateur de Jazzeries et j'apprécie fort le ton de cette émission.
Présentées par de vieux camarades complices, à l'érudition modeste, et avec un choix assez original de morceaux.
Je n'ai qu'un regret, et je m'en suis ouvert à Alain Gerbert : il coupent un peu trop les morceaux, et il n'annonce pas toujours les titre, personnel, date. Sans aller jusqu'au numéro de matrice, vous voyez à quel autre sympathique je fais allusion, les amateurs aiment bien avoir des détails croustillants.
Dans ma jazzothèque, j'ai pas mal de morceaux qui proviennet de cette émission (avec la voix de AG en incise).
La préservation de cette émission est un miracle. Pourvou qué ça doure.

Pour qui l'intro de 5 minutes genre "coup de gueule" d'AG il y a quelques semaines ? Quelq'un sait ?


 
Yann

12/02/2005
22:29
re : Black and Blue

Alain Gerber, c'est le mentor d'une génération dorée de spécialistes de jazz à Radio France (avec Arnaud Merlin, Alex Dutilhe et d'autres). C'est très difficile de définir ce qui fait que ça passe aussi bien, à Black & Blue. Spécialiste sans être érudichiante ou pédante, détendue sans être improvisée (Alain Gerber fait ses devoirs avant l'émission), on ressort de l'émission vraiment rempli de plein de choses. C'est le meilleur complément possible (un genre de "casual friday") au Jazz est un roman, le spot n°1 de France Musiques (bizarre, hein? C'est l'émission-phare de France Musiques, elle est montée, préparée, elle a un ton, ce n'est pas un magazine; "on" sait que cette formule-ci marche, qu'elle a un énorme succès, et pourtant, "on" a décidé que la mode était ailleurs...).
On peut se faire sa propre culture jazzistique à la seule écoute d'Alain Gerber, chose qui est unique parmi les domaines d'explorations de la chaîne (qui s'amenuisent comme peau de chagrin). Ca fait un petit bout de temps que je l'écoute, et comme l'invité de cette semaine à B&B, on devient un petit gamin de 4 ans tout frénétique quand on arrive à deviner le nom du standard, les musiciens et l'année d'un enregistrement (ça se fait par association, on repère style d'un musicien, on se souvient de ses coéquipiers, et on devine l'époque par la qualité du son ) Tout cela simplement grâce à l'écoute de Mister Gerber.
J'espère qu'il n'est pas en ballotage... On lui a déjà sucré dix minutes à la fin du Jazz est un roman pour une "Heure du Conte" totalement à côté de la plaque après les grivoiseries de la vie de Billie Holiday. La direction a apparemment voulu profiter du rayon de soleil apporté par Alain Gerber pour squeezer un truc un peu risqué... Je ne pense pas qu'il en soit très content parce qu'il ne lance pas ce petit segment avec chaleur ou bonne humeur (c'est le moins qu'on puisse dire...). J'espère vraiment vraiment vraiment que la direction de Radio-France réalise qu'elle a entre les mains un vrai homme de radio.
La transition de générations de présentateurs à France Inter est là pour témoigner que les choses peuvent mal tourner. Il y a beau temps, la partie jazz sur France Inter était sous la responsabilité d'André Francis, vétéran en la matière, passionné, a rencontré les plus grands jazzmen, a cotoyé les fondateurs même du jazz etc... Il avait une émission le dimanche soir qui s'appelait Les Voies Du Jazz (à ne pas confondre avec Les Joies Du Vase, un émission sur la poterie de l'âge sumérien). Extraordinaire: il mêlait enregistrements de références jazzistiques, concerts inédits avec pour terminer quelques extraits de la scène actuelle des clubs. Les explications entre les morceaux étaient parfaites. Un plaisir absolu pour terminer tranquillement un week-end (elle passait entre 22h et 0h, entrecoupée du journal de 22h30 (c'est France Inter, duh...).
Et puis le brave André Francis, comme un malotru, a décidé de prendre sa retraite, et est entré..... Julien Delli Fiori, avec Extérieur Jazz, émission qui portait bien son nom, et indiquait au jazz la direction à prendre... Outre le fait qu'il se répandait en demoranderies devant ses invités (eh oui, invités... magazine magazine, quand tu nous tiens), et qu'un musicien a forcément "une générosité exceptionnelle à partager, une chaleur et une dimension incroyable" (à croire que tous les musiciens de jazz sont le dalaï-lama), ce sont des vastes tartines de salsa qui ont remplacé le jazz. Julien adore ça. Il vit pour ça... Alors au lieu de finir tranquillement la semaine avec des chuchotis lancinants de Miles Davis, il a fallu subir des tambours de samba, des choeurs de trompettes luttant pour la plus haute note possible, sous les brâmes du dit Julien, pris d'une crise extatique. Ainsi, par simple choix individuel, le jazz a été peu à peu évacué (seulement diffusé en été lors des festivals)(c'est plus facile à faire, c'est déjà préparé) et substitué par une soupe beaucoup plus à la mode. -> *clic*

On encore de beaux restes de spécialistes de jazz à Radio France, n'en perdons pas une miette pendant qu'ils sont encore là!
Au fait, AG est aussi un romancier, quelqu'un a t'il lu ses livres, comment sont-ils?
Et puis j'en profite aussi: si quelqu'un dispose du générique intégral du Jazz est un roman, je suis prêt à lui offrir en échange, euh, hum, une collection intégrale de Télérama depuis 1991? (j'ai un mail à envoyer d'abord...)
Et pour finir, qu'est-ce qu'AG a dit pour son coup de gueule? Je suis vraiment intéressé!
Yann

 
GT

15/02/2005
23:51
re : Black and Blue

J'ai retrouvé mon enregistrement du B&B d'il y a quelques semaines, où notre ami Alain Gerber faisait un petit couplet sur les coulisses de l'émission.
Vous pouvez l'écouter :
http://banana.perso.cegetel.net/BnB0501/
C'est sympa et marrant. M'est avis qu'il y a quelques flechettes au curare. Je ne sais pas pour qui. Une idée ?

GT




 
Yann

18/02/2005
20:26
re : Black and Blue

Mazette, il faut qu'il l'ait ruminé pendant un petit bout de temps pour mettre ça sur papier et le lire à l'antenne (ça a l'air sérieusement préparé). Pas de cible précise, sans doute, mais juste un coup de pied dans le petit théâtre people de la station, et ceux qui ont du mal à comprendre comment on peut faire de la radio par vocation, et non comme tremplin pour une carrière là-bas, par delà l'horizon.
La clé de son speech a l'air d'être "amitié vs copinage", ou "collaboration fructueuse vs népotisme individualiste". Au lieu d'avoir des émissions franches comme l'or, qui n'ont rien à cacher, et qui n'ont rien d'autre à offrir que de l'authenticité, on a des émissions à plusieurs dimensions, réminiscentes de la Cour de Louis XIV, avec des alliances lèche-postérieur, ou des """coulisses""", concept éminemment absurde pour AG, dont l'esprit et la fabrication même de ses émissions interdit l'existence. Ca en dit long sur la joyeuse camaraderie qui doit bruyamment se manifester à la maison ronde.
Il y a beaucoup de leçons à tirer de ce petit coup de gueule (parce que pour faire sortir AG de ses gonds, il faut sans doute y aller).
Yann

 
lionel 1er

18/02/2005
23:54
re : Black and Blue

J'ai réécouté 2 fois et j'ai plutôt l'impression qu'AG a pour cible une embrouille dans le milieu du jazz plutôt que dans la maison ronde, non? Il cite une émission avec Martiel Solal qui aurait déclenché des réactions on ne sait où.

Lionel 1er
Prince consort de Fabiola
(jusqu'à la prochaine baston)




 
Yann

19/02/2005
00:32
re : Black and Blue

S'il pouvait être un chtit peu plus précis... On dirait qu'il s'adresse aussi à des gens qui savent très bien de quoi il parle (un genre de "suivez mon regard"). Peut-être qu'ils ont eu un désaccord avec Martial Solal, qu'ils ont saccagé le studio, mais AG veut garder la face?... Tout est possible. Cela dit, c'est vrai que ça ressemble à de la cuisine interne. On peut être assez sanguin, dans le milieu du jazz, c'est AG lui-même qui disait qu'il arrivait souvent à Oscar Peterson de réserver une chambre d'hôtel, de la dévaster avec la plus grande violence, puis de payer l'intégralité des dégâts.
"On" a vraisemblablement accusé AG de quelque chose, qu'est ce que ça peut-être? Il nous faudrait une taupe...
Yann


 
CA

19/02/2005
23:27
De l'absurdite des coulisses

Tout à fait d'accord avec les contribs de Yann et de Lionel.

Les querelles de chapelles dans le milieu de la critique de jazz sont d'une violence rare. Mais j'ai aussi souvenir (vague, comme d'hab') d'une séance publique de B&B (la dernière en juin ???), totalement houleuse, avec des interventions intempestives du public. C'est peut-être à cette séance qu'Alain Gerber fait allusion. Après écoute et réécoute, il me semble qu'effectivement Alain Gerber vise aussi certains auditeurs, particulièrement virulents, prompts à voir de la combine et des petits arrangements partout, et pas seulement "certains confrères" qu'il égratigne au passage.

En ce sens, ce petit speech, qu'il vaut la peine d'écouter, donne une leçon de choses assez magistrale, dans laquelle la distinction, évoquée par Yann entre amitié et copinage apparaît avec force. Mais ce thème serait un peu court et cantonnerait le raisonnement d'AG dans le registre de l'éthique ou du rappel déontologique s'il n'était prolongé par une sorte de discours de la méthode qui, mine de rien, dit des choses assez formidables. Car ce n'est pas en maître de morale qu'AG se pose, ni en donneur de leçons.

Il montre au contraire très clairement comment l'amitié, une certaine franchise, des "relations paisibles, normales" garantissent des échanges "lisibles, débarrassés des références et des allusions implicites entre vieux camarades". On peut être copains et amis et, justement, ne pas donner dans le "copinage". Il montre aussi que les susceptibilités des uns et des autres n'étant pas "froissables", n'ayant aucun besoin particulier de se ménager les uns les autres, peuvent alors se formuler au cours de l"émission des "positions absolues", "de graves formes d'allergie exposées sans précautions oratoires et sans réserves mentales". Toutes les thèses, toutes les hypothèses peuvent avoir leur chance. Nul besoin d'invoquer, à l'appui, la sacro-sainte vulgate de la "tolérance" ou de la pluralité des opinions (ça, ça serait le genre de discours bienpensant - qui-mange-pas -de-pain de Nicki de Moor) Le biais par lequel Gerber parvient à définir cette heureuse rencontre des compétences, des avis éclairés et des goûts et passions personnels dans son émission est extrêmement intéressant à entendre.
.
Il évoque plus tard ce temps où l'on ne pouvait dire son opinion, "sans risquer l'opprobre, l'excomunication, le bannissement" et où "chacun se faisait le commissaire politique de chacun et tout le monde en général ne disait strictement que ce que personne en particulier ne pensait".

Finalement... des coulisses ? Si l'on pense qu'elles existent et qu'elles servent à comploter, s'arranger entre complices, fomenter on ne sait quels misérables stratégies, c'est peine perdue, il faut passer son chemin. En revanche, Gerber insiste sur ce qu'est le travail de "préparation", le vrai, pour lequel il est plus important de "réunir des disques" "que de rassembler des idées ou des textes", et de ne faire l'impasse sur rien.

Ça, c'est parler d'or.

Le tout est dit de cette voix, sur ce ton et ce rythme si caractéristiques d' AG. Un bien beau coup de gueule, parfaitement maîtrisé, et qui justifie que l'on garde espoir (du moins en certains).

Christine




 
la reine des belges

20/02/2005
08:43
Jouons : Divagations zet Hypotheses

Je vote pour la thèse des confrères cass-couilles car il semble bien qu'Alain Gerber réponde à des "correspondants" qui n'ont pas apprécié le parler-cru ou la franchise d'une de ses émissions récentes, et conséquemment ont disons manifesté un certain désaccord en évoquant peut-être gants de boxe ou battes de base-ball ou autres stratagèmes. Martial Solal est impliqué dans l'affaire mais il n'est vraisemblablement pas dans le coup ou alors pas directement d'ailleurs au fait est-ce qu'il est encore en vie ? Il a du se faire un rien égratigner pendant l'émission du 28 janvier, et Gerber tout en reconnaissant son crime martial, semble dire que ce genre de vannes ne se balance pas sans amitié. Aussi AG semble ici réagir à quelques bordées d'insultes, voire de menaces de bastonnade ou de claques, sinon d'agressions armées.

Gerber mentionne clairement "certains confrères", et vise explicitement leurs pratiques. D'ailleurs on imagine mal un tel speech pour répondre juste à des courriers d'auditeurs même des fondus de jazz. Je ne serais pas surpris qu'on trouve l'explication dans quelqu'article pénible d'un chroniqueur de la presse jazzistique voire sur le Net. Et quant aux "coulisses" hypothétiques, postulées par les adversaires ici tout juste évoqués, c'est une référence ironique qui pourrait servir de fil à qui veut retrouver le titre de l'article qui en réponse motive tout ce spitche.

On peut se demander qui est en face, et qui donc a ouvert les hostilités. Ayant décroché de tout ça avant la fin de l'époque Vian-Panassié, je ne connais vraiment plus rien au monde du jazz je ne sais même pas si "la revue du hot-club de France" est encore en vente au drugstore publicis et aux entractes du gaumont-palace mais tant qu'à faire s'il faut imaginer à quelle tête à claque Gerber répond est-ce-que ça ne pourrait pas être disons par exemple le brave Nabe encore que je le vois mal défendre Solal plutôt Billie ou Basie mais ce sont là des inattaquables c'est que pour s'attirer une diatribe comme celle de Gerber là il faut visiblement avoir dépasé les bornes or Marc-Edouard est connu pour taquiner les deux côtés de la ligne jaune si vous voyez ske je veux dire bon j'espère qu'ils ne sont pas copains comme cochons franchement ça m'étonnerait donc voila je vote pour enfin si on peut dire pour Marc-Edouard Nabe ce faux-dur qui joue les figues molles celui qui n'a écrit qu'une seule bonne chose c'est le titre de son premier roman "Au régal des vermines" après pffuiiit plus rien tout le reste on baille mais si voyons Marc-Edouard Nabe celui qui se prenait jadis pour la réincarnation de Léon Bloy alors que la réincarnation de LB c'est
- ouah !
- t'as raison Badminton, gardons ça pour nous...

La reine du swing
 
Louise

17/06/2005
22:48
re : Black and Blue

Malcolm Tyner dans Black and Blue ce soir.
Je lui dois d'avoir compris où se situait chez moi ma faculté d'enthousiasme et d'admiration.
Je sortais de plusieurs spectacles qui m'avait laissée neutre et froide et je me lamentais : "ça y est plus rien ne m'émeut!"
Je suis allée écouter le grand orchestre de Malcolm Tyner et mon plexus solaire s'est ouvert, ce fut une soirée extraordinaire et rassurante.
Je n'ai pas tellement d'arguments pour dire si j'aime ou pas, juste je peux dire si mon plexus solaire s'ouvre ou non.

 
correcteur ennuyeux

17/06/2005
23:15
perfectionniste?

Désolé de piétiner cet enthousiasme solaire, mais il s'agit de MacCoy Tyner (je corrige simplement pour les ceuses qui voudraient trouver les dixes du grand monsieur).
 
Louise

17/06/2005
23:26
re : Black and Blue

mais bien sûr !
et Mac Coy était encore bien meilleur que Malcolm, c'est dire.
 
Louise

21/10/2005
21:22
re : Black and Blue

Vive le vendredi soir !

Mais pourra-t-on m'expliquer ce que vient faire là, Arnaud Laporte?
Le vendredi soir s'appelle aussi :
20:30 > CULTURE PLUS
par Arnaud Laporte
Réalisation : Thierry Guffroy

20:30 > MEMORABLES
Réalisation : Malika Mezgach

21:00 > BLACK AND BLUE Le magazine du jazz
Emission en public : le concert annuel de Black and Blue
Par Alain Gerber
++++++++++++++++++
J'imagine bien qu'il n'est pas là en direct et qu'il enregistre sa présentation, mais je l'en prie, ça n'est même pas nécessaire.



 
shhh

13/01/2006
21:09
re : Black and Blue

Contente ce soir, Black Blue est toujours là, j'aime bien Alain Gerber, et même à la limite peu importe ce qu'il dit, mais le ton est celui que j'aime précisément, tout baigne.
 
shhh

13/01/2006
21:13
re : Black and Blue

Et tous mes vinyles ? où est le podcastologue qui va me les mp3ïser ?
 
guydufau

14/01/2006
14:07
re : Black and Blue

Exceptionnellement un vendredi 13 a servi les attentes de tous les débiles superstitieux, grâce à un Blak and Blue superbe et à Gilles Anquetil qui a ressucité un disque vinyle offert en supplément à un achat de la Guilde du Disque vers les années 1950. Et régal supplémentaire, c'était une émission publique.
 
GT

24/03/2006
21:20
négro é azul do Brasil

vite vite. Ecoutez là, hips et nunc !
C'est délicieux. De la caïpirinha acoustique.

 
lolotte

25/03/2006
12:13
j'ai un fanne

oh mersi guy : "...Et régal supplémentaire, c'était une émission publique"
vous o moin vous mémé

(mais n'oubliez aps de dire ossi que c'été du dirèque)

laure
 
GT

25/03/2006
12:38
négro é azul ão vivo

Vous zêtes trop zaimable, sous vos fauzairs aguicheurs de fan publique.
Sua benção, sarava ! Comme disait Vinicius de Moraes, chanteur et diplomate dont il fut question hier soir, et qui, entre deux lampées de whisky, distribuait sa bénédiction au public.

 
Louise

08/10/2006
23:03
re : Black and Blue

C'est maintenant Black and Blue.

(je l'ai loupé depuis la rentrée)
 
GT

08/10/2006
23:07
re : Black and Blue

C'est comme le Professeur Rollin le samedi après-midi. On cherche, on écoute autre chose, on trouve. Gerber était mieux placé le vendredi soir.
 
LRDB

18/05/2007
09:36
des nouvelles de Black and Blue

Ayant remplacé mon ordinateur en bois par un ordinateur à boulons qu'est plusse mauderne et qui dépote mieux, je viens de me farcir en écoute tardive toute une floppée de Black and Blue depuis la rentrée, qui vont finir en galettes.

Il semble que depuis septembre, Alain Gerber pratique plus que jamais la série, se lançant dans la série des instruments : déjà 8 émissions sur le piano ake Paczinski l'homme aux moustaches de loutres et à la chapka en peau de phoque à moins que ce ne soye l'inverse. Je reste confondu par la connaissance de certains spécialistes. Par contre je trouve que Dominique Bouzon, celle qui fait la série sur les "instruments divers", aussi sympathique soit-elle, n'en sait pas plus et peut-être même moins que le puits de science qui l'accueille sur la fréquence.

Critique : la page de l'émission n'est pas toujours à jour, il n'y a point de podecasting, et la consultation sonore par Real Player souffre de l'interru^ption de minuit, la même qui ampute le Veinstein nocturne, Damn it ! Malgré ça, tout est bon ou presque. Black and blue c'est toujours du bonheur, surtout annoncé avec une sorte d'enthousiasme neuf par le producteur de l'émission précédente, Gérard Gromer, qui à chaque fois l'envoie dans une sorte d'explosion d'enthousiasme, à chaque fois il achève son annonce en majuscule : "émaintenanblaquand BLEW !!" (délicieux)

LRDB
 
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