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| la reine des belges 15/01/2005 00:10 |
Tout arrive, surtout le pire : Année 2005 |
Je ne suis pas certaine de comprendre ski est arrivé au fil de Tout Arrive (surtout le pire). Du coup j'ouvre celui-là. Dans l'émission du 3 janvier consacrée aux difficultés de l'édition en 2004, difficultés entrainées par le rachat du Seuil et le naufrage logistique de Volumen, on entend tour-à-tour : - le Voinche qui fait des efforts désespérés pour expliquer et excuser les errements de la distribution-diffusion en 2004 : il faut bien que les nouveaux opérateurs apprennent leur métier dit-il. Ahurissant : ce type que je n'ai jamais vu rien comprendre à quoi ni à qui que ce soit, le voila qui fait l'effort de se mettre à la place d'industriels en difficulté, pour cause d'incompétence de sélacien. Non mais ils le tiennent en laisse ou bien là aussi ya une consigne de la patronne ? Et il ne se fait pas simplement l'avocat du diable pour les besoins du débat, il faut l'entendre inciter à plus de mansuétude et de compréhension les libraires dont la survie même est menacée par l'incurie de Volumen. - un libraire de Lausanne qui démontre que les clivages français ne sont pas pertinent : notamment le clivage entre indépendants et non indépendants, est pour lui une vue de l'esprit. Sa librairie appartient à un groupe de 10 qui lui-même appartient à une maison d'édition Suisse (Payot) qui elle même appartient à une filiale d'Hachette. Il vend des livres et des piles, de toutes provenances, sans centrale d'achat. Il y a donc un cliché français anti-groupe, que lui n'avalise pas. - J'entends aussi les interventions de Pierre-Marc de Biasi, qui comme à l'accoutumée maitrise mieux le sujet que le producteur animateur j'ai nommé Voincheman. Je me demande pourquoi ici aussi (comme dans Les matins) c'est le médiocre qui dirige et le mec compétent qui est le sous-fifre ou l'invité. Et puisque Tout arrive ressemble de plus en plus au Panorama (enfin sur le papier I Mean), alors autant sacquer le Voinche (send him to Titan puisque sur Mars il est recalé) et mettre à sa place un tandem Biasi/Ory. Ah zutre je sais plus le prénom de l'autre quasi-permanent de Toutarrive : c'est Kid Ory ? Qu'en pensez-vous, chers amis du forum DDFC ? La reine des babaorums |
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| Ci-devant_auditeur 19/01/2005 18:26 |
re : Tout arrive, surtout le pire : Année 2005 |
Voulez-vous dire que les discussions précédentes ont disparu ? -- Ci-devant |
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| DDFC 19/01/2005 18:37 |
re : Tout arrive, surtout le pire : Année 2005 |
http://www.broguiere.com/culture/forum/index.php3?lecture=36 1  |
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| Romain 20/01/2005 20:27 |
Nouveau médiateur à Radio France |
Ceci est un message à caractère informatif. Comme je n' en ai pas vu mention dans les archives, je vous le livre: Le médiateur de Radio France ,et donc de France Culture, a changé suite à la retraite de Philippe Labarde. Il s' agit de Patrick PEPIN, ancien responsable de la rédaction de FC (je n' ai pas le titre exact). Le détail du jeu de chaises musicales se trouve ici .(Attention certaines chaises se retrouvent dans un placard): http://www.radio-music.org/print.php?sid=1746 |
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| la reine des belges 21/01/2005 06:41 |
Suite de Tout arrive de 030105 |
Le libraire suisse du lundi 3 janvier c'était Pascal van den berghe, directeur de Payot (éditeur et libaire). Une heure avant son passage chez le Voinche ce même 3 janvier, on pouvait l'entendre sur Espace2 interviewé par une Sylvie Tanette un peu acide, dans l'émission Entre les lignes. En 27 minutes j'en ai appris plus sur la question du prix du livre qu'en 60 minutes chez le Voinche, avec des invités comparables dont Van den berghe, mais aussi Pascal Lhostis, directeur du syndicat français de la librairie indépendante, et Anne Brécard, romancière de la Suisse Romande. Malgré le bilan très positif de la loi Lang en France, Vanden berghe argue qu'elle n'est pas adaptée à la Suisse. Pourtant Payot a eu à souffrir de l'installation de la Fnac à 200m, dans un contexte de concurrence libre, ce dont le directeur de Payot n'incrimine pas cette grande surface. Il plaide pour la concurrence organisée et non pour la contrainte juridique fixant le prix. D'ailleurs dit-il, il y a eu plus de fermetures de librairies à Zurich alors que la loi sur le prix est bien plus stricte en Suisse Alémanique qu'en France. Le prix imposé n'est pas une condition suffisante pour maintenir le réseau de diffusion et la qualité de service dans l'intérêt du lecteur. En France même, où certes la librairie indépendante survit mais où le libraire crève de faim, c'est par une floppée de mesures complémentaires à la loi de 81 qu'on a pu obtenir le maintien de la librairie indépendante, et donc d'une certaine diversité de l'édition. Le prix unique n'est aps suffisant, et peut-être pas nécessaire non plus. Globalement Vanden Berghe plaide pour un consensus interprofessionnel sur les prix : ce genre de raisonnement est inenvisageable en France où la culture de la négociation et du consensus est un tout petit peu reléguée par la culture du rapport de forces. Ceux qui veulent en savoir plus, ceux qui en ont un peu marre des clichés du débat franco-français sur le livre, enfin ceux qui veulent entendre de la radio claire, peuvent réécouter Entre les lignes par real player jusqu'au 3 janvier http://www.rsr.ch/view.asp?DomID=202&ClickedDate=1/3/200 5 La reine des suisses |
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| Louise 29/09/2005 23:31 |
re : Tout arrive, surtout le pire : Année 2005 |
Ah, il faut écouter l'émission du jour, http://www.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/ toutarrive/ Sylvie Courtine-Denamy exprime assez clairement ce qu'elle pense du livre de Laure Adler : pourquoi tant insister sur la relation Heidegger-Arendt puisqu'on n'en peut rien savoir? Mais c'est la plus grande histoire d'amour du siècle lui répond L.A., qui dit aussi qu'elle n'a pas voulu écrire pour les philosophes ou les spécialistes d'Arendt mais pour la faire connaître au plus grand nombre. (c'était déjà comme ça pour F-C) Donc, pendant toute sa période de direction , Laure Adler écrivait cette biographie , et elle nous faisait avaler de la culpabiline à haute dose. Résultat : une radio qui sombre et un bouquin (que je n'ai pas lu.) à la fin de l'émission, elle a dit qu'elle préparait un livre d'entretiens avec Jacques Doillon, oui, celui de "La femme qui pleure". |
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| Marceldudu 30/09/2005 00:21 |
re : Tout arrive, surtout le pire : Année 2005 |
Bonsoir, La journée a été très riche, aujourd'hui. Lolotte à tout arrive. Heureusement, il s'est trouvé une personne, une seule, pour contester un peu ce beau concert de louanges. Puis au journal, le sieur Pépin n'y est pas allé avec le dos de la cuiller. Après ça, on a eu la retranscription du chat sur le forum. Plus tard, la Kronlund nous a venté les charmes du recrutement à la légion étrangère! Pour qui cette émission est-elle faite??) Plus tard encore, dans une des provocations les plus vulgaires dont il a le secret, Lebrun nous a tartiné son émission avec le feuilleton "pipeul" de la trois . Nom de dieu, La vie est belle, même sur FC! Finalement, j'ai bien aimé Finkie! Marceldudu |
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| CA 31/10/2005 13:56 |
Le roi du trampoline |
Quelqu'un doué de mémoire pourrait-il me dire si la pratique de s'inviter entre soi était déjà courante naguère, ou si c'est juste une obsession de ma part ? (voir fil ouvert par Louise). J''ai plutôt tendance à penser que cela ne se faisait pas du temps où il n'y avait pas de magazines culturels qui rendent possible ce genre de pratique incestueuse. Et il ne me semble pas avoir entendu Lebrun ou Assoupline inviter leurs confrères à Culture Matin, sous prétexte de parution de livre. Mais la déontologie n'étouffe plus personne dans cette maison. Ça me rappelle fortement le Monde des Livres et les articles consacrés aux livres des "collaborateurs" du Monde. Aujourd'hui c'est au tour de l'excellent Philippe Meyer d'aller deviser de son roman "Brusques chagrins" au micro du mondain de midi. Finalement, ce n'est peut-être pas une si mauvaise idée de rester entre soi, parce que : 1- cela donne l'occasion aux producteurs de se rencontrer (Voinchet mange à la cantoche tous les jours, Meyer ne doit pas passer sa vie à la Maison de RF). 2- Meyer peut apprécier la qualité du français qui se parle sur France Culture , à midi : "s'il aurait écrit...", "marqué sur le coin du bon sens", " vous en pensez quoi de..;", "allez, on va dire, quoi, ..." 3- s'il a le bon goût de zapper à midi, ça lui donne aussi l'occasion de constater in vivo le niveau du débat littéraire, avec un Voinchet qui n'est intéressé par par les éditeurs, les mondanités parisiennes, les anecdotes, le pognonne que gagne un écrivain, les maisons qu'il achète. Consternant aujourd'hui. 4- l'auditeur peut mesurer la différence, dans la façon de conduire les débats et de distribuer la parole (ou d'accaparer pour rien). Meyer essaie subtilement de finir ses phrases et de répondre après les interminables digressions de Voinchet. Du coup, on perçoit encore mieux les interruptions intempestives. Ce qui est pathétique chez Voinchet, ce sont ses efforts insensés pour se pousser du col et se faire valoir devant ses invités, notamment s'ils sont écrivains, alors qu'il n'est pas de jour qu'il ne se ridiculise davantage devant eux. Entre autres naufrages, voir l'entretien récent avec Antonio Lobo Antunes, que m'avait signalé un dédéèffecien. La semaine dernière, François Weyergans, sobre, un brin taciturne, concis, lance à Voinchet qui pérorait interminablement sur l'édition, l'écriture, les écrivains, "c'est très brillant, mais vous voulez me faire dire quoi au juste...". À un autre moment, comme le Voinche le bassinait avec ses musiquettes, Weyergans lui balance : "on se croirait chez Ardisson. Il faut que je devine de qui est la musique ? ". Le Voinchy, déstabilisé, était constamment sur la défensive. On le sentait pressé d'abréger son calvaire. Ce type n'écoute pas les réponses. Sauf quand elles lui sont prétexte à une nouvelle interruption. Comme pour Lebrun, le débat n'est pour lui qu'une sorte de saut de trampoline permanent. Le tout est de pouvoir rebondir par des questionnettes et des commentaires même pas dignes d'une radio de lycée, mais pourvu que ça puisse rebondir, on se fout de savoir où on va et ce qu'on dit, on se fout de l'invité et de l'auditeur. Il faut espérer que Kessler l'écoute un peu plus souvent. CA |
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| Marceldudu 31/10/2005 14:17 |
re : Tout arrive, surtout le pire : Année 2005 |
En relisant l'interview de JM Borzeix, hier, je sentais bien qu'il n'était pas que le gestionnaire de FC, mais qu'il conseillait, guidait les producteurs. Il avait une vision globale de son rôle de patron, et une réelle exigence. Je suis très inquiet, car je trouve que depuis la prise de responsabilité de D. Kessler, je ne sens strictement aucun changement, aucune amélioration dans, ne serait-ce que le comportement des guignols. Je sais bien qu'ils ont un contrat reconduit etc.. Mais quand-même, le titulaire de l'esprit FC, de l'exigence FC, c'est lui, et à défaut de les virer, il pourrait au moins faire ce que faisait JM.B, non? Par ailleurs, je suis ravi que depuis quelque temps, ma mémoire fasse du sport dans plusieurs langues (ou charabias, c'est selon!) Peut-être, finalement, a-t-il pris des vacances en attendant la nouvelle grille! Marceldudu |
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| paddy 31/10/2005 18:03 |
re : Tout arrive, surtout le pire : Année 2005 |
En plus de Meyer le deuxième invité l'écrivain Mathieu Garrigou-Lagrange est aussi un employé de FC  |
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| CA 31/10/2005 20:09 |
Alors, ils étaient deux |
Ah oui, je me disais bien que son nom m'était familier. Qu'est-ce qu'il fait à FC, ce Garrigou ? En tout cas, tout le monde avait l'air de prendre ce pauvre Voinchet pour un Gogolito. Je suis comme Marceldudu. Je ne vois pas l'ombre d'un début de changement, ne serait-ce que de ton ou de style. Il pourrait au moins recadrer ses troupes, le nouveau boss, non ? Il y a tout juste eu, pour le style, quelques génériques rabotés – celui de Téoufikakem et celui de Terre à terre. On n'entend plus planer les Pont l'Évêque mirobolants et phé-no-ménaux. Celui-là je le regrette parce que c'était du vrai délire. C'est peu de chose. Mais le discours maintenant c'est : tout le monde est merveilleux. FC est une radio merveilleuse qui fonctionne merveilleusement. C'est une radio sœur, une radio du cœur. Amen. C. |
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| Tocqueville 31/10/2005 20:40 |
re : Tout arrive, surtout le pire : Année 2005 |
Une habitude adlérienne toujours en vigueur: l'hommage aux morts de la semaine ! "coller au bruit du monde " disait l'ex- dans son entretien programmatique au Monde de juillet 2004. Ce lundi donc, Mémorables consacrés à Arman, disparu la semaine dermière La conséquence pour l'auditeur est de ne plus jamais être pris par surprise et surtout d'être assommé par de douloureuses redondances. Car sur Arman, les passionnés et les curieux auront déjà tout lu la semaine passée dans la bonne presse. Voilà bien un tic adlérien que Kessler aurait pu facilement effacer. Mais au fait, où est-il celui-là ?? |
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| CA 31/10/2005 20:46 |
Wanted : un Directeur pour FC |
Ben oui, on se demande... C |
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| La reine des belges 14/12/2005 00:02 |
L'année 2006 promet d'être fumante... |
Eh bien tout arrive surtout les bonnes surprises car voici que le Voinche raccroche son micro à la moquette directoriale et voila il décampe ce volatile histrionnesque trop lourd pour voltiger il se glisse comme un gros dindon sous le grillage de la basse-cour et on peut redouter qu'il n'emporte avec lui ses campanitas dans sa chambrette de cristal pour laisser la place au zigougoui de nono laporte euh je parle des musiques de générique là n'allez pas encore imaginer de trucs hein Anyway la tranche du midi risque de ne pas s'arranger c'est vraiment le massacre radiophonique qui se perpètre depuis 6 ans comme le génocide rampant dans le bassin aux tanches voraces il y eut d'abord les clowns radiophoniques Bourmi & Clarino puis le roi de la question con nous avons nommé le Voinche après tout avec Laporte ça ne peut pas être pire mais enfin on apprécierait que ça soye meilleur que le Laporte de Culture-Moins aussi espérons qu'il sera correctement brieffé et surtout intelligemment entouré càd de collaborateurs intelligents sinon ici on n'est pas près de se calmer je vous le dis comme je le pense La reine en grève de ponctuation |
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| Nazdeb 14/12/2005 10:39 |
re : Tout arrive, surtout le pire : Année 2005 |
Ouarf, excellent !  On tremble et on retient sa respiration jusqu'à janvier.  |
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| AArgh!!! 02/01/2006 14:37 |
Année 2006 |
J'ai pas tout écouté, MAIS Emission sur l'art moderne et sur Duchamp : Laporte m'a l'air de préparer ses émissions un peu plus sérieusement que le Vrac MC. La grande "nouveauté" du jour : le retour de ....Roger Dadoun! Eh ben pardonnez-moi, les fidèles du Pano, mais c'était encore PIRE que dans mon souvenir: les "anal"-yses à deux balles fondées sur des calembours dignes du général Vermot érigées en système d'interprétation "***psychanalytico***"-esthétiques de type caca-pipi (avec l'urinoir, ça s'imposait)-concon, c'était irrespirable. Il est à flinguer, ce type!  |
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| ange 02/01/2006 21:33 |
re : Tout arrive, surtout le pire : Année 2005 |
Malheureusement d'accord avec AArgh!!! (jusqu'au "flinguer" exclusivement): Dadoun tout seul, c'est attristant: il n'était pas le meilleur élément du Panorama, et de toute façon le charme est rompu. |
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| AArgh!!! 03/01/2006 07:47 |
En chemise et la corde au cou |
Bon, bon, j'apolle, comme dirait Ada. Je me bornerai à le vouer au compissage, puisqu'il est tellement branché sur le sujet.  Dadoun (c'est la variante illustrée et anal - ytique)  |
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| AArgh!!! 03/01/2006 10:40 |
pire que dadoun-vermot |
J'ai oublié de mentionner, mais c'est irrésistible, qu'au milieu de l'avalanche dadounesque ci-dessus évoquée, l'un des invités s'appelait Daniel... Soutif. Bon, à présent je m'effondre de confusion et j'accepte d'être vouée aux
gémonies par les gens de bon goût . |
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