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| Louise 30/10/2003 22:56 |
Woody Allen et France-Culture |
C'est en sortant du dernier film de Woody Allen que j'ai dit:"Au moins lui, il en fait quelque chose de sa paranoïa au lieu de nous la balancer vicieusement en pleine poire!" Eh bien, chers amis, c'est à France-Culture que je pensais, cette radio est complètement malade et se soigne en faisant suer le burnou de ses auditeurs. Je pensais sans doute à ce pauvre Adler qui mercredi nous a appris qu'il était en froid avec son ami Poutine, dont il disait pourtant le plus grand bien du temps où il jactait avec Colombani, et là il était faché avec son pote Poutine car Mikhaïl Khodorkovski est en prison, et comme Adler fait sauter les tabous comme il dit, il nous révèle qu'il est juif Khodor. Attendez-vous à savoir que Poutine est lié à Al Qaida ! Et ce matin avec le frère aîné Cohn-Bendit, je t'en remets une doublure sur le voile. Pas de faits, chacun brasse ses fantasmes. Cela n'éclaircit rien et ça empêche de penser, enfin moi, ça m'empêche. Même des gens comme Jean lebrun rate leurs émissions, mais tu m'étonnes ! Il doit y avoir une ambiance dans ce bouillon paranoïde ! C'est pesant, ça pompe l'énergie ces climats-là ! Quoique, hier soir Lebrun faisait sur les apparitions de Marie, mère de Jésus et j'ai eu une apparition, j'ai vu Murièle casser son poste ! Je crois donc que pour ma santé mentale, je vais écouter de moins en moins F-C, et demander au Père Noêl (mais bien sûr que c'est un personnage historique!) de m'offrir une radio qui capte RFI, car les éditoriaux de Richard Labévière, c'est la classe nettement au-dessus de ce pauvre Adler.  smiley 76 |
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| Louise 30/10/2003 22:57 |
re : Woody Allen et France-Culture |
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| Yann 31/10/2003 00:23 |
re : Woody Allen et France-Culture |
Cela dit, et pour détourner le sujet, comment est-il ce dernier Woody Allen? (on le dit fatigué de son propre style) (et il n'a plus sa prime jeunesse de séducteur frustré) |
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| Murièle Berha 31/10/2003 00:24 |
re : Woody Allen et France-Culture |
Mais non, Louise, je n'ai pas du tout cassé mon poste ( d'autant que je n'écoute quasi jamais rien en direct et que "Travux publics" fait partie de ce que j'écoute en différé depuis bain et salle de bains ), je me suis contentée de constater la honteuse prestation ( cf ici l'allusion faite à la page "Promotions des produits..."). Pour Woody Allen et une désillusion de plus peut-être, comme je ne peux renvoyer à l'adresse, l'article étant désormais payant, je copie celui publié dans "Le Monde" du 15/10 QUAND WOODY ALLEN PREND L'OSEILLE AVANT D'ÉCRIRE LE MONDE | 15.10.03 | Francfort de notre envoyé spécial Take the Money and Run (Prends l'oseille et tire-toi, en français) était le titre du premier film de Woody Allen. Quand il propose son projet d'autobiographie, dont les droits se sont arrachés à la Foire du livre de Francfort, ce serait plutôt : "Take the Money and Write". Juste avant la Foire, qui a eu lieu du 8 au 13 octobre, les éditeurs du monde entier avaient reçu, de l'agence anglaise ICM Books, douze pages écrites par Woody Allen et datées du 30 septembre : "Notes pour une possible autobiographie." Rappelant que ses livres se sont bien vendus dans de nombreux pays, de l'Islande au Japon, le cinéaste annonce d'emblée la couleur : "Je peux écrire un livre divertissant. L'inconvénient est que cela me prendrait entre six mois et un an pour faire du bon travail." Et, afin de lever toute ambiguïté : "Pour tout ça, je veux beaucoup d'argent. La balle est dans votre camp." Les éditeurs peuvent se rassurer : "Il s'agira d'une bonne histoire." Elle commence par son enfance à Brooklyn. Son père est mort à 100 ans et sa mère à 96 ("J'ai beaucoup d'histoires sur eux ; elles sont très drôles."). Il voulait devenir joueur de base-ball ou magicien, mais pensa "sérieusement à devenir criminel". Il trichait aux cartes et aux dés, et ne lisait jamais autre chose que des bandes dessinées. Dès le CM2, il étonnait ses professeurs "en faisant des blagues sur le sexe et Freud". Il a bien sûr "des histoires sans fin" sur l'école et sur ses "tentatives surréalistes pour trouver des femmes". Il évoque ses mariages et ses divorces : Diane Keaton ("L'être humain le plus talentueux que j'aie rencontré") ou Mia Farrow ("Quelques années de chahut, incluant procès, batailles pour la garde des enfants, expériences trop bizarres à détailler avec des psychiatres de toutes sortes, détectives privés, écoutes téléphoniques"). Et, enfin, la fille adoptive de Mia Farrow, Soon-Yi, pour laquelle il "brisa tous les tabous". "C'est plein de drames et de conflits de la vraie vie, fascinants et croustillants, parfois plus dramatiques qu'aucun de mes films", conclut-il. Les éditeurs se sont battus pour avoir le droit de publier ce livre encore virtuel. Ainsi va l'édition moderne. Les enchères vont se chiffrer en millions de dollars. En France, c'est Robert Laffont qui a emporté la mise, pour plus de 600 000 dollars.infect Alain SALLES • ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 16.10.03 Cette passion de l'argent me dégoûte. Murièle Berhault |
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| Louise 31/10/2003 18:38 |
re : Woody Allen et France-Culture |
Oui, c'est bien connu qu'Allen est assez rapia, mais de le savoir ne m'empêche pas d'aller voir ses films. Pour répondre à Yann, j'ai bien aimé "Anything else", l'argument (enfin juste selon moi) est la paranoïa d'un vieux juif et sa recherche de solutions pour lui et son jeune ami, juif aussi mais pas malade, avec autour toutes les marottes d'Allen. Je suis reconnaissante à Woody Allen et à Philip Roth de m'avoir fait comprendre à travers leurs oeuvres la difficulté d'être juif après l'extermination nazie. |
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| Christophe 31/10/2003 19:51 |
re : Woody Allen et France-Culture |
Dans ce domaine, nous ne sommes pas dans la culture mais dans la mercatique (pour ne pas dire marketing) : il s'agit de marché. Voir les opérations commerciales Kenza à Bagdad, Marie à Vilnius et le produit imprimé du jeune homme handicapé euthanasié (dont le plan média n'était pas aussi bon puisque je n'ai pas retenu son prénom ni la maison d'imprimerie). Et pour de plus amples précisions, demander à Sulitzer (je suis un pauvre divorcé et achetez ma publication "comment s'enrichir en m'enrichissant"), Schneiderman (je suis un pauvre licencié), Montiel (idem et achetez mon produit dérivé en librairie), Crozemarie pour l'ARC (ma pension est insaisissable) et Colucci (Véronique) (je me suis mieux débrouillée, je n'ai pas été virée des restaus du coeur (des autres)). P.S. : Produit imprimé à ne pas confondre avec livre, bouquin, etc ... P.S. 2 : Publication à ne pas confondre avec magazine, etc ... P.S. 3 : Maison d'imprimerie à ne pas confondre avec éditeur ... |
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| Yann 02/12/2005 21:09 |
re : Woody Allen et la BBC |
Woody Allen fête ses 70 ans et la BBC lui rend hommage par une petite série d'émission. On peut déja réécouter la première, qui a été consacrée au début de sa carrière. Ca se passe ici: http://www.bbc.co.uk/radio4/woodyallencabaret/pip/3dmab/ Yann  |
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