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| ddfc 04/01/2007 20:26 |
Michel Bouquet parle de radio culturelle |
Voici un extrait très intéressant signalé par Agnès dans lequel le comédien Michel Bouquet parle de radio culturelle : http://ddfc.free.fr/bouquet.mp3 Lorsque MB parle du Club d'essai de la radiodiffusion française de Pierre Schaeffer et du poète Jean Tardieu, il s'agit de la période 1946-1960. Ecouter http://www.arteradio.com/son.html?3555 Lorsque MB parle de "L'Analyse Spectrale de l'Occident", il s'agit de la période 1958-1968. Voir http://ddfc.free.fr/1958.htm Lorsque MB parle des 20 ans de summum de la radio culturelle, il s'agit donc probablement de la période 1946-1968!  |
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| Agnès 04/01/2007 20:45 |
re : Michel Bouquet parle de radio culturelle |
Pas le temps d'écouter (mes endives mijotent...  ) mais THANKS, Paddy ! ça sera pour plus
tard. |
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| A. 04/01/2007 22:23 |
re : Michel Bouquet parle de radio culturelle |
Réécouté, avec la même émotion et la même gratitude, la 1ère partie.  |
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| lubosse 31/01/2007 19:14 |
re : Michel Bouquet parle de radio culturelle |
Ce que dit Bouquet (avec Laporte notons le) et qui a été rediffusé est important, parce que ça montre que nous ne sommes pas (uniquement) des vieux cons nostalgiques d'une époque révolue, mais qu'il y a bien eu 'casse' de quelque chose de miraculeux. A moins qu'il ne soit lui même un vieux con ?! |
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| la reine des belges 31/01/2007 20:30 |
entre vieux cons |
Mais voyons ces différentes hypothèses ne sont nullement exclusives : nous pouvons fort bien être des vieux cons nostalgiques et néanmoins dire des vérités utiles. Ainsi dans un autre fil consacré aux nuits, Paddy signale que le budget de la radio est constant, et que les multidiffs de nuit sous 48h ne rapportent rien aux producteurs. Sans savoir s'il s'agit d'un questionnement ou d'une insinuation de Paddy, je me permets de poursuivre ici-même sur cette question, pour alléger ledit fil des Nuits : il n'y a rien d'incompatible entre des rediffs apparemment économiques, et une dépense supplémentaire. Une question qu'on se pose ici quasi depuis le début, c'est celle des coûts comparés de l'ancien système de production(part importante d'émissions enregistrées et recours à producteurs tournants) et du système mis en place par Laure Adler (producteurs fixes et émissions en direct). Ainsi, l'économie réalisée en occupant les nuits par la multidiff serait-elle un aspect de cette dés-économie (baisse de qualité à coût constant) ? Pour que cette thèse soit vérifiée, il convient de s'assurer d'un point qui n'est pas un détail : le coût des rediffs de Nuit de naguère (celles de la formule mise au point par Genevièvce Ladouès) : ces nuits étaient-elles plus couteuses que les multidiffs à coût zéro ? - si oui, alors il s'agit d'un aspect parmi d'autres du transfert de rémunération des anciens producteurs tournants aux actuels producteurs titulaires (parfois ce sont les mêmes), dont Laure Adler disait "nous pouvons enfin leur offrir une rémunération décente" (sous-entendu : en privant de travail et de ressources tous les autres) - dans le cas contraire (les rediffs de nuit qui ne coutent rien maintenant ne coutaient rien non plus avant l'instauration des multidiffs), il s'agit alors d'un pur choix de programmation. En conséquence, il revient aux auditeurs de faire comprendre au directeur des programmes que ces émissions multidiffusées étant déjà largement accessibles par le Net (dispo en podecaste, dispo en web radio), eh bien le retour aux bonnes vieilles rediffs de nuit accroitrait l'offre de programmes. Cet accroissement serait aussi bien quantitatif (nombre d'heures de programmes), que qualitatif (à supposer que la station soit dotés d'indicateurs qualitatifs, ce dont on peut douter quand on écoute certaines émissions, véritables torchons radiophoniques déguisés en magazines) La reine |
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| paddy 31/01/2007 21:33 |
re : Michel Bouquet parle de radio culturelle |
Dans ma remarque, je sous-entendais que les anciennes Nuits (que nous regrettons) étaient plus couteuses que les actuelles, puisque toute diffusion d'émission archivée suppose de payer l'INA, qui facture ses services d'archivage/mise à disposition, plus la SCAM qui reverse les droits de diffusion aux producteurs. A propos de l'utilisation payante des archives, il y a en principe un quota annuel qui est négocié avec l'INA. Et certains protégés de la direction ont, parait-il, tendance à dilapider le quota, en faisant acheter une heure d'archive pour ne conserver qu'une phrase.  |
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| Benoît Beyer 02/02/2007 21:43 |
C'est remarquable ! |
Quelle leçon ! |
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